1. J'ai une remorque et j'aime ça.


    Datte: 21/09/2024, Catégories: fh, ff, 2couples, grp, inconnu, Collègues / Travail jardin, parking, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, attache, délire, Humour occasion, Auteur: Cormobin, Source: Revebebe

    ... regarde Louise. Elle a un sourire béat.
    
    Mon baiseur se retire, s’éloigne un peu. Un grand sourire. Béat lui aussi.
    
    — C’était très bon pour moi. Votre chatte, votre cul sont très bons. Les seins de votre copine très beaux. Je n’ai pas vu les vôtres par contre.
    — Une autre fois, peut-être.
    — Je suis partant. Même heure, même endroit, la semaine prochaine ?
    — Oui, si vous voulez.
    — OK. Comme vous je crois, j’en avais parlé à mon pote, il ne voulait pas me croire.
    — Il est sympa, votre pote ?
    — Oui, très.
    — Il a une remorque ?
    — Oui.
    — Pourquoi vous ne l’avez pas invité ?
    
    Je souris.
    
    — Il a une copine, et je crois qu’il lui en a parlé.
    — Elle est sympa, sa copine ?
    — Oui, comme lui.
    — Pas coincée ?
    — Je ne crois pas.
    — Alors, proposez-leur de venir.
    — À tous les deux ?
    — Oui. Avec leur remorque.
    
    Il s’en va. Je cherche Louise. Elle est là, les yeux bizarres :
    
    — Bon, tu me détaches ?
    — Oui, tout de suite, bien sûr.
    — Euh, ça va ?
    — Oui, très bien, pourquoi ?
    — Tu as le regard bizarre.
    — C’était extraordinaire.
    — Quoi donc ?
    — La situation. Toi, attachée, la robe relevée, en train de te faire pénétrer. Puis ton orgasme, tu étais comme possédée, les yeux révulsés. Je t’ai bien observée, je t’ai laissée, tu jouissais, c’était très impressionnant, ça a duré, duré. Je comprends qu’il ait paniqué l’autre jour, et ensuite, tu es revenue.
    — Et comment tu te sens ? Tu n’es pas comme d’habitude. Je ne t’ai même jamais vue comme ça.
    — Je me sens ...
    ... bizarre.
    — Excitée ?
    — Oui, je crois. Le fait que tu m’aies demandé de mettre mes seins à l’air. Toi, lui.
    — Attends, fais-moi voir.
    — Quoi ?
    — Oui, tu viens de me voir me faire prendre en levrette, sodomiser, tu m’as mis un doigt dans le cul, tu peux bien me montrer ta chatte. Tu as les seins à l’air, baisse ta culotte, maintenant.
    — Après tout, comme tu dis, et vu mon état.
    
    Elle baisse sa culotte, je m’approche. Je regarde, je ne vois rien.
    
    — Je peux toucher ?
    — Oui, au point où on en est, vas-y.
    
    Je descends ma main dans sa culotte. Sa chatte est trempée. Douce, mais trempée.
    
    — Enlève-la !
    — Quoi ?
    — Enlève ta culotte, on ne peut pas te laisser comme ça.
    — Et tu vas faire quoi ?
    — Moi ? Te faire jouir. Tu es toute mouillée, toute gonflée. Tu le sens ?
    — Oui, je suis très excitée en fait.
    
    Elle ne dit rien, mais descend sa culotte et l’enlève.
    
    — Appuie-toi à la remorque
    
    Elle s’appuie aux garde-corps. Les deux coudes sur le bord. Je me colle à elle. Elle a les seins à l’air, toute débraillée, et maintenant, ma main sur sa chatte. Je remonte un peu, au-dessus des lèvres.
    
    — Tu as le clito tout dur.
    — Si tu le dis…
    — Je peux te doigter ?
    — Si tu veux.
    — Tu en as envie ?
    — Oui.
    — Alors, dis-le-moi.
    — Oui, doigte-moi, j’en ai envie.
    
    Je descends, et je rentre un doigt. C’est humide, chaud. Je l’enfonce doucement. Je regarde Louise. Elle se mord la lèvre inférieure.
    
    — Continue, c’est bon.
    
    Je la doigte un peu, puis je sors, je retrouve le ...
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