1. Dans l'enfer de la bibliothèque


    Datte: 13/09/2024, Catégories: 2couples, hplusag, extraoffre, danser, fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme sm, fouetfesse, dominatio, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... prendre votre temps ou vous décider maintenant et commencer une première séance. Je ne peux pas décider à votre place, Odile, vous ne portez pas encore le collier.
    
    Lentement, sans quitter Dimitri du regard, Odile amena le collier à son cou, le plaça correctement et le ferma avec l’agrafe. Il y eut un silence qui dura entre eux tandis que leurs regards ne se quittaient pas.
    
    — Il me va bien ? demanda Odile.
    — À ravir, chère amie. Et maintenant, taisez-vous, s’il vous plaît. Vous ne parlerez que si je vous le demande. Il est dix-huit heures, la bibliothèque est fermée, n’est-ce pas ?
    — Oui.
    — Et vous avez les clés ?
    — Oui.
    — Alors je souhaite découvrir cette mystérieuse réserve où vous gardez pour vous des livres cochons. Emmenez-moi.
    
    Ils sortirent du café.
    
    — Marchez devant moi, demanda Dimitri, sur le trottoir. J’aime beaucoup regarder votre cul.
    
    Ils entrèrent dans la bibliothèque. La grande salle était très sombre, mais Odile n’alluma pas les lumières. Elle ne savait pas à quoi s’attendre. Le professeur voulait-il vraiment voir les livres de la réserve ou cherchait-il juste un coin tranquille pour lui faire des choses ? Une fois qu’ils furent entrés dans cette pièce sans fenêtre et qu’Odile eut actionné l’éclairage, Dimitri ferma la porte et s’appuya contre. Odile se tenait debout et s’était retournée face à lui, passant d’un pied sur l’autre, attendant une demande, ou plutôt, un ordre, pensa-t-elle en touchant le collier autour de son cou.
    
    — Enlève ton ...
    ... pantalon qui moule si bien tes grosses fesses, petite Odile, dit l’homme d’un ton neutre.
    
    Odile s’exécuta. Tout en tentant de s’extraire élégamment du jean, ce qui n’avait rien d’évident, elle remarqua qu’il l’avait tutoyé pour la première fois. Elle prenait son temps, car elle avait peur de la suite. Mais la chaleur dans son ventre lui disait aussi qu’elle voulait cela. Quand elle fut enfin débarrassée du pantalon, elle remonta sa culotte qui avait glissé sur ses cuisses et défroissa le bas de son chemisier, attendant la suite avec fébrilité. Heureusement, la culotte était jolie.
    
    — Le jeu de la vérité, Odile. Il n’y a que toi et moi, ici. Tu peux tout dire. Est-ce que tu t’es déjà masturbée dans cette pièce ?
    — Je… Oui, monsieur.
    — Souvent ?
    — Plusieurs fois cette semaine. C’est… à cause de vous.
    — C’est très bien. Tu es une bonne petite, tu sais ? Montre-moi tes seins, maintenant.
    
    En se déshabillant, Odile cherchait sur le visage de Dimitri l’avidité des prédateurs qui ont enfin coincé une proie, mais ce n’est pas ce qu’elle voyait. Le regard de son maître était celui d’un enfant émerveillé le matin de Noël, ou celui d’un travailleur satisfait de la tâche accomplie. Elle observait aussi à la dérobée le pantalon de velours du professeur, mais il n’était pas assez proche du corps pour qu’elle voie une érection. De son côté, elle mouillait vraiment et elle commençait à se demander si cela ne se voyait pas sur le satin de sa culotte. Elle déboutonna lentement son ...
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