1. Dans l'enfer de la bibliothèque


    Datte: 13/09/2024, Catégories: 2couples, hplusag, extraoffre, danser, fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme sm, fouetfesse, dominatio, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... curieux qu’on ne trouve plus aujourd’hui.
    
    Puis l’homme s’éloigna vers les rayons emplis de livres. Odile le suivit un moment des yeux et constata qu’il se dirigeait aussitôt vers le fonds ancien. Elle ne put s’empêcher de sourire.
    
    Quand il revint vers elle, au bout d’une demi-heure, il avait de nouveau une grosse pile de livres, aux thèmes disparates, mais pas de vieux livres à la reliure en cuir.
    
    — J’ai cherché dans votre fonds ancien, mais je n’ai rien trouvé d’équivalent à cette histoire d’hypnose, dit-il nonchalamment.
    — Oh, répondit Odile en rougissant un peu à son tour, il n’y a rien du même auteur, c’est certain, mais si c’est l’ambiance qui vous a plu, j’ai en tête une autre histoire qui pourrait vous intéresser. Si vous avez quelques minutes, je peux aller vous le chercher.
    — J’ai tout mon temps, mademoiselle, pour découvrir un livre mystérieux.
    
    Odile sortit de son poste de travail et se dirigea vers le fonds ancien, sous le regard du professeur qui ne quitta pas des yeux ses fesses moulées dans un jean noir. Il ne regarda ailleurs que lorsqu’elle revint vers lui avec un autre petit livre du même format, rose cette fois-ci. Il la remercia, s’en empara et repartit tandis qu’Odile restait songeuse, se demandant si elle avait bien fait.
    
    Le petit livre rose s’intitulait « Esclaves d’amour » et datait de 1906. Il racontait l’histoire d’un comte qui passait de sa propriété à la campagne à la vie mondaine de Paris. Il embauchait de jeunes secrétaires pour ...
    ... l’aider à gérer ses affaires, les emmenait dans son château en province et les transformait en esclaves sexuelles. Il y parvenait en prenant une voix sévère et un air supérieur et les pauvrettes n’osaient pas désobéir. Dans ce livre-là, les scènes de sexe étaient beaucoup plus explicites et dérangeantes que dans « Les mirages de l’hypnose ». Les jeunes femmes étaient vraiment maltraitées, mais quand, à la fin du livre, le comte leur proposait de retourner à Paris, elles le suppliaient de les garder à son service.
    
    Odile avait beaucoup rêvé en lisant ce livre, mais elle n’en avait jamais parlé avec son fiancé, un jeune ingénieur de son âge qu’elle fréquentait depuis quelques années déjà, sans qu’ils se décident à vraiment vivre ensemble. Aussi, quand le professeur revint la semaine suivante, elle le regarda approcher de sa banque avec une émotion qu’elle ne comprenait pas bien.
    
    — Merci de votre conseil, dit le professeur en déposant le petit livre rose devant la jeune bibliothécaire. J’ai vraiment beaucoup aimé. Vous aussi, peut-être, puisque vous me l’avez conseillé ?
    — Tout m’intéresse dans la littérature, vous savez ! éluda Odile. Comme vous le disiez pour le premier livre, l’ambiance est bien rendue. On n’a gardé aucun souvenir de ces auteurs et je trouve cela dommage.
    — Et vous avez encore d’autres pépites de ce type à me présenter ? Je suis preneur, en tout cas. Je suis incapable de trouver de tels livres par moi-même.
    — Eh bien, je crois que nous n’avons rien ...
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