Dans l'enfer de la bibliothèque - Histoires de Sexe

Dans l'enfer de la bibliothèque

... chemisier rose et l’enleva, le posa délicatement sur la même chaise que son pantalon. Maintenant, il y avait le soutien-gorge. Elle n’aurait pas dû en mettre. L’enlever était toujours une petite contorsion et elle ne se sentait pas à son avantage.

— C’est la dernière fois que tu mets un soutif, Odile, dit Dimitri comme une constatation. Quand tu voudras porter le collier rouge, il faudra l’enlever au préalable.

Cela plut à Odile. Leurs esprits étaient en phase. Et tandis qu’elle en terminait, elle eut un déclic. La nouvelle ! Ils étaient en train de rejouer la scène dans le palais. Bientôt, le professeur allait dire quelques grossièretés à propos de ses seins et ensuite, il lui demanderait de se masturber devant lui. Elle en eut chaud partout, elle avait très envie de le faire. Une fois seins nus, elle mit les mains derrière son dos comme une enfant sage à la chorale et attendit.

— Très mignons, ces petits nichons ! On en mangerait. J’avais raison : pourquoi soutenir ces petits champignons ? Maintenant, baisse ta culotte. Ne l’enlève pas, hein, juste la baisser.

À nouveau, Odile fit lentement ce qu’on lui demandait.

— J’en étais sûr. Tu n’es qu’une petite oie blanche. Qu’est-ce que c’est que cette touffe ? Avoir l’abricot entouré de poils quand on est une aussi jolie putain, c’est une hérésie. Cela mérite une punition, et même sévère. Tu imagines de quoi je parle ? Mais tu es toute innocente et c’est ta première fois. Je veux bien passer l’éponge, mais tu ...

... vas faire épiler tout ça dès que possible. C’est compris ?
— Oui, Monsieur, répondit Odile en baissant les yeux.
— Maintenant, remets ta culotte, fourre ta main dedans et montre-moi ce que tu fais quand tu viens dans la réserve et que tu penses à moi.

Odile obéit sans rien dire. Sa fente était trempée, son bourgeon dur et dressé comme une petite bite. Elle ferma les yeux et commença à se caresser.

— Je te préviens, dit Dimitri doucement, je suis expert en femmes qui simulent. Je veux un vrai orgasme, comme si je n’étais pas là.

Sa voix calme et son ton neutre rassuraient Odile et la décevaient. Elle se sentait si obscène, si putain qu’elle ne comprenait pas qu’un mâle puisse résister à l’envie de lui sauter dessus et de la prendre. En même temps, la retenue du professeur lui permettait d’oser, de ne pas paniquer et son regard bienveillant lui indiquait qu’elle n’était pas folle ou ridicule. De la main gauche, qui n’était pas dans la culotte, elle se pinça le téton et le fit rouler entre ses doigts. C’était bon, elle gémit.

— C’est bien, ma petite salope, tu es belle comme ça. Continue !

Il y avait tout de même de l’excitation dans sa voix. Sans ouvrir les yeux, elle l’imaginait, sa queue douloureuse dans son pantalon. Elle pensa à Antoine. Que penserait-il s’il assistait à la scène ? Serait-il excité ou dégoûté ? Cette idée la traversa comme une flèche et le plaisir monta dans son ventre, une vague plus haute que les autres qui envahit la plage, le lait qui ...