Nuit de plaisirs à Paris
Datte: 24/08/2024,
Catégories:
fhh,
fplusag,
couple,
extracon,
cadeau,
cocus,
candaul,
inconnu,
hotel,
caférestau,
anniversai,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
pénétratio,
fsodo,
jeu,
confession,
lieusexe,
Auteur: Plaisirspartagés7506, Source: Revebebe
... quasiment secret. Seuls, quelques initiés, triés sur le volet, connaissaient ses alcôves et luxueux salons privés accessibles après avoir affronté un dédale sombre et feutré. Prélude aussi inquiétant qu’excitant.
Les mets étaient succulents, le vin, un grand cru de Bourgogne, un véritable nectar, et visiblement Sophie commençait à en ressentir les effets euphorisants. Elle se leva pour prendre une grande bouffée d’air et admirer les lumières de la ville, légèrement cambrée, les bras posés sur la balustrade de verre. Je la rejoignis, elle était vêtue d’une petite robe d’été blanche et moulante à fines bretelles, assez courte et très légère. Ses jambes galbées, par des escarpins à talons hauts, exhibaient de soyeux bas couleur « nude ». À ma demande, elle n’avait pas mis de culotte et je ne pus résister à l’envie de remonter discrètement une main jusqu’à son intimité. Bien que les autres tables fussent à bonne distance, certains convives avaient, semble-t-il, profité de la scène.
Quelques instants après avoir regagné notre table, nous vîmes Ottavio avancer vers notre table. Mon sang ne fit qu’un tour, bouffée de chaleur et pulsations cardiaques dignes d’une fin de 100 mètres !
Il était impressionnant, il alliait une étonnante et élégante décontraction ; sa chemise et son ample pantalon de lin blanc cassé, au tombé impeccable, ne souffraient d’aucun froissement. Sa stature, son allure et son style avaient déjà troublé Sophie, avant même qu’il ne prononçât le premier ...
... mot !Il y a des signes qui ne trompent pas…
— Bonsoir, Madame, bonsoir, Monsieur, lança-t-il avec son léger accent italien.
— Bonjour… Enfin, bonsoir, bredouilla ma tendre intimidée, en déglutissant difficilement.
Tout en demandant la permission de s’installer à notre table, Ottavio, d’un ton posé et charmeur, mais aussi énigmatique, suspendant ses phrases et regardant Sophie, expliqua sa présence ainsi :
— Je n’ai pas encore le plaisir de vous connaître, Madame, mais Paul m’a livré un secret… il m’a tout dévoilé…enfin presque… n’est-ce pas aujourd’hui votre anniversaire de mariage ?
— Euh… oui, dit-elle, étonnée et intimidée.
Puis, reprenant soudainement son assurance, ayant repris de grandes gorgées de ce Bourgogne millésimé, elle ajouta sur un ton ironique et désinhibé :
— Vous, j’ai l’impression que vous êtes mon cadeau…
Et d’un clin d’œil complice à mon attention, elle ajouta :
— Je m’étonnais que mon tendre époux ne m’ait encore rien offert !
À ce moment, je savais que mon épouse était prête, pour de vrai, au libertinage.
Ottavio, vif, toujours elliptique et mystérieux, lui répondit d’un sourire envoûteur :
— Il existe des cadeaux qui font plaisir et d’autres qui procurent du plaisir… ne pensez-vous pas ? l’interrogea-t-il, en jouant de son regard séducteur.
Il tendit doucement la main à ma chérie, en l’invitant à le suivre. Sophie se laissa entraîner tout en s’assurant, à chaque pas, que je les suivais. Nous descendîmes un immense ...