1. Nuit de plaisirs à Paris


    Datte: 24/08/2024, Catégories: fhh, fplusag, couple, extracon, cadeau, cocus, candaul, inconnu, hotel, caférestau, anniversai, noculotte, BDSM / Fétichisme pénétratio, fsodo, jeu, confession, lieusexe, Auteur: Plaisirspartagés7506, Source: Revebebe

    ... escalier, empruntâmes de nombreux couloirs étroits, labyrinthiques, peu éclairés, et dont les parois étaient toutes capitonnées. Au passage de portes, elles aussi capitonnées, on pouvait parfois discerner, de façon feutrée, des râles et des soupirs.
    
    Ottavio s’arrêta devant l’une d’elles, l’ouvrit et nous pria d’entrer. Nous découvrîmes une architecture d’intérieur délirante : ni mur, ni plafond, ni sols classiques. Une prouesse technique nous donnait l’illusion d’être plongés, dans l’océan. Autour de nous, de petits poissons multicolores tournoyaient et virevoltaient. Au centre siégeait un très généreux lit japonais recouvert de draps de soie noire et de gros coussins rouges de soie également.
    
    — Allongez-vous tous les deux, détendez-vous et profitez du spectacle, vous êtes mes hôtes, je reviens tout de suite.
    
    En sortant, Ottavio avait baissé la luminosité, le spectacle était hypnotisant. De petites fioles très spéciales diffusaient dans toute la pièce des vapeurs capiteuses et enivrantes. Sophie était dans un état second, ses jambes, habillées de bas clairs, contrastaient magnifiquement avec la soie noire. Sa robe légère était un peu remontée et dévoilait la lisière de ses bas. Ma main passa sur sa magnifique vulve, communément appelée « pêche » car les grandes lèvres recouvraient totalement les petites. Son entrecuisse était trempé. Je lui demandai, à l’oreille, si c’était Ottavio qui la mettait dans cet état. Elle me répondit par l’affirmative, et projeta, ...
    ... lascive, un bras derrière la tête.
    
    Nous vîmes alors Ottavio entrer avec trois coupes de champagne et venir s’asseoir sur le lit, près de ma tendre. Il portait, maintenant, un peignoir satiné gris foncé à liserés. Je continuais à la caresser en la présence d’Ottavio ; Sophie se laissait faire, elle ouvrait totalement ses cuisses, offrant son sexe à la vue de l’étalon. La pointe de ses talons hauts crissait sur la soie et de la cyprine s’écoulait maintenant abondamment de sa vulve, imprégnant peu à peu les draps.
    
    Ottavio porta aux lèvres de Sophie une coupe de champagne, des larmes de vin coulèrent sur son cou et glissèrent entre ses seins blancs. Ses tétons, en érection, pointaient sous sa robe fine et au généreux décolleté. L’étalon, du bout de sa langue, lécha les perles de champagne qui mouraient entre les seins de Sophie, tout en faisant glisser le long de ses épaules, les deux fines bretelles de sa robe frivole, découvrant ainsi ses généreux seins en poires. Il effleura, de la pulpe de ses doigts, son cou ; elle frissonna. Puis, il descendit vers la douce peau de ses seins ; s’attarda sur ses aréoles et renforça l’érection des tétons d’une douce caresse linguale. Allongé aux côtés de mon épouse, j’observais avec complicité et excitation ces incursions sur son corps.
    
    Le mâle poursuivit sa conquête. Ses doigts effleuraient maintenant sa vulve luisante dont je voyais les lèvres s’entrouvrir. De la cyprine s’écoulait abondamment et mouillait maintenant, les draps de soie ...
«12...4567»