Nuit de plaisirs à Paris
Datte: 24/08/2024,
Catégories:
fhh,
fplusag,
couple,
extracon,
cadeau,
cocus,
candaul,
inconnu,
hotel,
caférestau,
anniversai,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
pénétratio,
fsodo,
jeu,
confession,
lieusexe,
Auteur: Plaisirspartagés7506, Source: Revebebe
Sophie et moi évoquons de temps en temps cette nuit qui fut la plus troublante et torride de notre vie de couple.
Tout a commencé un soir, par un simple petit jeu coquin auquel beaucoup de couples doivent s’adonner ; une balade presque innocente, sur des sites érotiques, voire pornographiques, juste pour s’encanailler un peu et échauffer les sens. Sophie était, pour cette occasion, juste revêtue de lingerie très sexy : nuisette légère en soie, porte-jarretelles soutenant des bas soyeux et escarpins noirs, à talons fins et hauts, galbant parfaitement ses jambes. Je ne vous décrirai pas sa culotte ; elle n’en portait pas !
Nous étions assis, côte à côte, devant l’écran, et les premières images « hot » trouvées provoquèrent rires un peu nerveux, louanges pudiques ou commentaires plus ironiques et retenus. Puis, les barrières tombant peu à peu, des allusions de plus en plus lubriques commençaient à fuser ; et nous voilà partis à commenter les positions, les tenues et bien entendu le physique et les attributs souvent très avantageux des uns et des autres. Les pulsions sexuelles exacerbées avaient fini par mettre en veilleuse nos tabous. La victoire momentanée du ça sur le surmoi, comme diraient les freudiens…
Soudainement, alors que j’étais, souris en main, le capitaine de cette navigation libidineuse, Sophie s’exclama :
— Oh ! remonte un peu là… fais voir !
— Oui… voir quoi, ma chérie ?
— Le brun qui… qui prend la fille en levrette… oui là… ah… il est pas mal, pas ...
... mal, oui… tu peux zoomer ?
Un peu interloqué devant tant de hardiesse à laquelle ma chérie ne m’avait pas vraiment habitué, je m’exécutai assez maladroitement, je m’y repris à plusieurs fois, avant de parvenir à effectuer le gros plan désiré par Sophie…
— Voilà… pas déçue ? lui lançai-je alors, avec une pointe de jalousie mal dissimulée.
Restée muette quelques instants, elle répliqua alors :
— J’aime bien ses fesses, elles sont superbes, tu ne trouves pas ?
Alors là, je ne sais pas vous, mais en ce qui me concerne, cela m’a toujours surpris… d’après toutes les enquêtes effectuées auprès de la gent féminine, il paraît qu’elles craquent pour nos postérieurs… enfin, pour certains, du moins !
Je lui fis remarquer son énorme membre, sans doute une façon de reprendre le contrôle, en adoptant une attitude faussement détachée de toute jalousie.
— En effet, à faire pâlir le célèbre Rocco… ça doit faire mal un gros machin pareil, je ne sais pas comment fait la fille, là où il lui met.
— Le tien me convient très bien, mon chéri, rétorqua-t-elle, en m’embrassant, comme pour maintenant relativiser son excitation et me rassurer.
— Coquine, va, tu as des références, dis-moi !
Je ne pus m’empêcher de remonter une main le long de ses bas, jusqu’à la lisière, et faufiler mes doigts jusqu’à sa vulve nue et humide.
— Il ne te laisse pas indifférente, à ce que je sens.
— Humm… oui, marmonna-t-elle, les pommettes rougissantes.
Puis, tout à coup, Sophie me surprit ; ...