Nuit de plaisirs à Paris
Datte: 24/08/2024,
Catégories:
fhh,
fplusag,
couple,
extracon,
cadeau,
cocus,
candaul,
inconnu,
hotel,
caférestau,
anniversai,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
pénétratio,
fsodo,
jeu,
confession,
lieusexe,
Auteur: Plaisirspartagés7506, Source: Revebebe
... offerte à un superbe étalon en train d’élargir ses petits orifices d’amour de sa colossale verge turgescente !), mais, au cours des jours précédents, dans notre lit conjugal, en pleine action et par jeu érotique, j’avais demandé à Sophie s’il lui arrivait de penser à cet étalon. Elle m’avait répondu spontanément :
— Humm… oui… mon chéri… je rêve chaque fois que c’est lui qui me baise… Sa bite me fait peur et m’excite terriblement en même temps… je suis toute trempée dès que j’y pense.
Simple fantasme ou véritable tentation d’un passage à l’acte de ma chérie ? Avait-elle vraiment envie d’une expérience perverse et lubrique au vu de cette réponse spontanée ? Ces questions me taraudèrent longtemps. Néanmoins, après de longues semaines de doutes exacerbés, je trouvais la hardiesse d’envoyer un mail et des photos de nous à ce libertin. Après tout, cela n’engageait à rien !
Il me répondit assez vite, en notant qu’il trouvait Sophie très classe et sexy. Il me fit comprendre qu’il serait ravi de nous rencontrer autour d’une bonne table, à Paris.
Sophie ne sut rien des échanges de correspondance assez nourris qui s’ensuivirent avec Ottavio. Ottavio était le pseudonyme, ou peut-être son vrai prénom, qu’il utilisait dans nos échanges.
Ottavio était rassurant et menait intelligemment « sa barque ». Pris dans une sorte d’engrenage, phénomène bien décrit par les psychologues sociaux, je décidais d’aller jusqu’au bout de cette folie sexuelle. Pour nos vingt ans de ...
... mariage, j’avais trouvé « le cadeau » qui devait la faire monter au 7e ciel ! » Je voulais que ce soit une grande réussite, un moment de plaisirs partagés. Ce devait être élégant et respectueux envers Sophie dans les moindres détails. Elle ne devait se douter de rien jusqu’à la dernière minute et se laisser guider par ses désirs, ses pulsions. Je prenais bien sûr le risque qu’elle fût trop effarouchée ou carrément offusquée. En la circonstance, je pouvais très bien me retrouver avec mon « cadeau », sur les bras.
Un seul échange téléphonique, avec le coquin, me permit de prendre la mesure du personnage. Il s’exprima dans un français parfait, mâtiné d’un charmant accent italien. Il était serein, à mon écoute, et son immense expérience inspirait confiance. Je retrouvais déjà les éloges qui lui étaient attribués sur Internet.
Nous prîmes rendez-vous.
Par cette belle soirée d’août, nous nous attablâmes tous deux avec Sophie, confortablement installés sur le splendide rooftop d’un restaurant gastronomique de la capitale. Il était réputé pour offrir l’un des plus beaux panoramas sur Paris. La magie de Paris « ville lumière » opérait, nous étions comme des gamins émerveillés devant le scintillement des guirlandes ornant le sapin de Noël. Et pourtant, à cette heure, j’étais loin de l’innocence de l’enfance. Ottavio, qui devait se joindre à nous au cours du repas par je ne sais quelle habileté, m’avait appris que ce restaurant de renom était aussi un haut lieu de libertinage tenu ...