Joueuse, ma belle-mère... La suite
Datte: 17/07/2019,
Catégories:
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Auteur: DuranDuran, Source: Revebebe
... mon pauvre majeur solitaire aller et venir dans son cul de déesse. Quand elle serra ses fesses, je sentis que le jeu avait pris fin. Elle se réajusta et déposa un baiser sur mes lèvres. Avec quelques feuilles de menthe, je nettoyai mon doigt, et nous rentrâmes à l’ombre de la maison.
Début juin. Éliane m’a envoyé un premier SMS demandant de poser un jour de congé. Après un rapide point avec ma Direction, j’ai pu négocier mon vendredi. Deuxième SMS de ma belle-mère qui a ensoleillé ma semaine : « Vendredi, c’estopen bar ! Trouve un hôtel ! »
Je suis arrivé un peu en avance à l’hôtel. La chambre était luxueuse, lumineuse ; le matelas, gigantesque. J’étais nu sur le lit, sirotant une bière, et j’ai trouvé une chaîne X qui diffusait un film de cul. Pas besoin de cela pour être excité comme une puce, mais je regardais cependant. Le scénario était simplissime : une jeune et jolie veuve emménage dans un nouvel appartement, des voisins charmants l’aident à porter un fauteuil. Elle leur offre un verre, ils s’assoient de part et d’autre de la jeune femme, commencent à la caresser ; elle se laisse faire et finit par les sucer. C’est à cet instant qu’Éliane entra dans la chambre. Elle était sublime. La cinquantaine flamboyante, classe et sexy avec sa robe verte à fleurs près du corps, ses hauts talons, ses lunettes et ses couettes blond-roux.
Elle eut un regard pour l’écran ; la fille suçait son voisin de gauche pendant que l’autre lui bouffait le cul.
— Je crois qu’elle ne ...
... va pas tarder à se faire enculer… dis-je à ma belle-mère.
— Eh bien, j’espère que moi aussi ! répondit-elle avec son sourire qui chaque fois me donnait une érection de feu.
Elle s’approcha du lit et sa bouche se jeta sur ma queue dressée. Elle était à quatre pattes à côté de moi et me pompait comme une damnée. J’attrapai ses jambes et, avec autorité, la positionnai en 69 sur moi. Sa culotte de soie blanche était à hauteur de ma bouche et je léchai le tissu. Sans lâcher ma queue de sa bouche, elle défit les boutons de sa robe. Je la basculai sur le dos. Je la regardais, elle sourit. Mes mains enfin parcoururent son corps ; elle n’avait pas de soutien-gorge et je pus enfin toucher ses seins. Mes doigts glissaient sur son ventre, ses cuisses, ses épaules, sa chatte douce comme une porcelaine chaude. Je plantai deux doigts dans son vagin pendant qu’à genoux à côté de son visage, je glissais à nouveau ma bite dans sa bouche. Elle jouit une première fois avec ma main. Je l’amenai devant la baie vitrée. Au loin, on voyait le boulevard Foch. Les gens semblaient des fourmis. Je la basculai en avant, baissai sa culotte à hauteur des genoux et glissai ma queue dans son cul non préparé. C’était serré… Elle poussa et je sentis dans un râle ses chairs m’accueillir. Elle recula d’un coup sec pour s’enculer plus profondément. J’étais heureux.
Éliane pencha la tête sur le côté pour voir la télé ; la jeune veuve était sodomisée par une bite énorme.
— Tu vois, Jérôme, tu avais raison ...