1. Joueuse, ma belle-mère... La suite


    Datte: 17/07/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, alliance, hotel, fsodo, confession, Auteur: DuranDuran, Source: Revebebe

    Ce récit est la suite de l’histoire n° 15616. La chance et le désespoir ont fait qu’il y eut une suite…
    
    Ma belle-mère, Éliane, joue un jeu pervers avec moi. Elle me chauffe comme un fou mais jusqu’à présent, je n’ai toujours pas pu la toucher physiquement. Elle a commencé par s’exhiber, puis se masturber. J’ai même eu le plaisir de me faire sucer les mains attachées dans le dos…
    
    Et je dus être patient… En effet, mon beau-père, Pierre, eut quelques problèmes de santé et Éliane s’occupa de lui. Il enchaîna par la prise impromptue de sa retraite et décida d’offrir un tour du monde à sa femme. Deux mois sans la voir, sans la sentir. Quelques nouvelles par mail à sa fille Agnès, une carte postale de Californie et rien d’autre.
    
    Souvent, le soir, avant de m’endormir, je repensais aux cinq séances de complicité que j’avais eues avec ma belle-mère. Voir ses seins, la regarder se caresser, admirer le gode entrer dans son joli cul, me branler devant elle et pour finir, me faire sucer. Cinq parenthèses qui avaient enflammé mes sens, cinq moments d’une intense frustration également car, à ce jour, pas une fois mes mains n’avaient pu toucher son corps.
    
    Ils revinrent enfin de leur long voyage, et nous proposèrent de venir déjeuner le dimanche, comme nous en avions l’habitude.
    
    Éliane était superbe, bronzée, ses cheveux roux plus clairs et plus longs, le hâle cuivré de son visage donnait à ses yeux bleu-vert une intensité plus rayonnante. Quand nous nous fîmes la bise, elle ne ...
    ... trahit aucune émotion. Et durant le repas, je la trouvai très proche de son mari, très complice, et cela me rendit inconsciemment jaloux. Elle portait une longue robe marocaine brodée qu’elle avait ramenée d’Essaouira, la mythique Mogador, et ne me regarda presque pas du repas. Ce fut sa fille Agnès qui, après le dessert, lui proposa de me kidnapper pour faire un état du jardin.
    
    De mauvaise grâce, elle accepta, ce qui me rendit infiniment triste. Je savais que notre histoire était terminée.
    
    On se retrouva au jardin ; toutes les plantes avaient poussé avec ce printemps pluvieux, surtout les mauvaises herbes. Éliane semblait concentrée sur ses plants de fraisiers. Je bouillais intérieurement !
    
    N’y tenant plus, je lui dis en la prenant par le bras :
    
    — Éliane, et nous ? Vos promesses ?
    — Il faut oublier, mon petit Jérôme ! Nous avons eu un accès de folie, mais c’est maintenant de l’histoire ancienne ! Il faut que tu penses à Agnès, et moi j’ai retrouvé une nouvelle passion avec Pierre.
    — Mais, belle-maman…
    — Pas de mais, Jérôme ! C’est terminé. On oublie.
    — Moi, je ne peux pas oublier, belle-maman ! Toute ma vie, chaque fois que je fermerai les yeux, je revivrai ces moments avec vous…
    
    Elle se lança alors dans un long discours sur la fidélité, l’amour, la passion raisonnée, l’âge, son envie d’être grand-mère. Je finis par ne plus l’écouter, n’entendant que la mélodie de sa voix. Je regardais ses lèvres rouge sombre bouger et briller dans ce chaud soleil de mai. ...
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