1. Joueuse, ma belle-mère... La suite


    Datte: 17/07/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, alliance, hotel, fsodo, confession, Auteur: DuranDuran, Source: Revebebe

    ... Sans réfléchir, je défis doucement ma ceinture, glissai ma main dans mon pantalon, sortis mon sexe déjà dur et commençai à me caresser.
    
    Silence.
    
    Son discours moralisateur reprend, mais de manière saccadée. Je souris en me branlant. Elle regarde ma bite. Je respire fort. Et je jouis. Elle me fixe dans les yeux, sans expression, et s’en retourne. Je reste là comme un con !
    
    Quatre jours passèrent. Pas de nouvelles ! Ah si : Pierre a eu un malaise et, par précaution, il a été hospitalisé.
    
    Éliane me téléphona un jeudi après-midi. J’étais au bureau.
    
    — Je sors de l’hôpital ; Pierre va mieux maintenant. Tu n’aurais pas deux heures devant toi ? J’ai quelque chose à te montrer.
    — Mais bien sûr, Éliane ; je préviens ma Direction que je m’absente et je suis à vous. Où se retrouve-t-on ?
    — Viens chez moi, et sois prudent !
    
    Je filai à toute allure, oubliant ses conseils, et quelques minutes après je sonnai à son portail. Elle m’accueillit par une bise chaste ; elle était divine. Elle avait éclairci ses cheveux tirant maintenant sur le blond vénitien, ce qui lui donnait un petit air de Claire Chazal. Elle portait une robe noire très simple et élégante, comme ses chaussures à talons aiguilles. Elle me demanda de la suivre à l’étage ; je devinais ses cuisses bronzées et fermes. Je tendis la main, et me ramassai une claque violente.
    
    — Qu’est ce qui t’a permis ?
    — Mais, belle maman…
    — Ne sois pas si impatient, mon fougueux gendre… Laisse faire le temps !
    — Pardon, ...
    ... je ne recommencerai pas.
    
    Elle s’assit sur le lit, me proposa de m’asseoir à côté d’elle.
    
    — J’ai beaucoup réfléchi, dit-elle. Tu m’as énormément troublée en te caressant devant moi, dimanche ; et, au fond de mon ventre, je dois avouer que ton acte fou m’a perturbée, au point que je n’ai pas dormi de la nuit. J’ai pesé le pour et le contre, et si tu me promets sincèrement que le jour où l’un de nous veut arrêter il n’y aura aucune suite, alors je suis d’accord pour continuer. Mais avec mes règles à moi !
    
    J’eus envie de me jeter dans ses bras et de la remercier, mais elle me repoussa violemment.
    
    — Merci, belle-maman, je comprends : je ferai ce que vous voudrez, je serai discret ; vous pouvez compter sur moi. On recommence quand ?
    — Aujourd’hui, si tu as un moment. J’ai un petit scénario à te proposer… dit-elle avec un sourire vicieux que je retrouvais enfin. Tu vas être le maître deMister T, et toujours sans me toucher directement, tu vas pouvoir me ramoner soit la bouche, soit la chatte, soit le cul. Si par malheur tu me touches avec ta main, on s’arrête immédiatement ! C’est compris ? dit-elle en me tendant ce monstrueux gode noir.
    — Parfaitement, Éliane ; et commeMister T a déjà goûté à votre cul, c’est dans la chatte que je choisis de l’enfoncer !
    
    Elle s’allongea sur le lit, remonta doucement la robe sur sa taille, fit glisser sa culotte à ses chevilles, et lentement ouvrit le compas de ses longues jambes. En faisant très attention à ne pas la toucher, ...
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