Joueuse, ma belle-mère... La suite
Datte: 17/07/2019,
Catégories:
fh,
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Auteur: DuranDuran, Source: Revebebe
... j’approchai mon visage de ses lèvres parfaitement épilées, soufflai précautionneusement. Je fis couler un peu de salive à l’entrée de son orifice et introduisis le gland surdimensionné deMister T. Elle avança le bassin violemment, et dans un râle animal se planta le gode jusqu’à la garde. Je pris appui sur le bras gauche et, de ma main droite, commençai à la pilonner avec violence. Elle hurlait comme une possédée, me criant d’aller plus fort, plus loin, plus vite.
— Retournez-vous, belle maman ; mettez-vous à quatre pattes.
Elle se tourna immédiatement, cambrant son dos au maximum et de ses deux mains aux ongles carmin, écarta largement ses fesses bronzées (elle avait dû pratiquer le naturisme, la salope…).
— Vas-y, pilonne moi, mon salaud ; metsMister T en vibration maximum !
— Vous êtes ouverte comme une salope, belle maman ; vous sentez, je le tiens des deux mains…
— Sors-le et rentre-le maintenant, défonce-moi, défonce-moi !
Elle tourna son visage en sueur vers moi ; elle semblait possédée par le démon, son rire était carnassier, cruel !
— Mets-moiMister T dans le cul maintenant, vite.
Je sortis le gode vibrant dans un geyser de mouille – je bandais comme un damné – et le rentrai brutalement dans son anus rose et serré. Elle cria sa douleur et son plaisir. Je la pistonnais comme un marteau de forge, mes bras étaient tétanisés par l’effort, mes yeux brûlaient de transpiration ; dans un râle encore plus puissant, elle s’affala sur le côté.
— Wouawhhh, ...
... Jérôme, c’était trop bon !
— Je suis mort, belle-maman ; vous m’avez épuisé, à défaut de me faire jouir !
— Tu n’auras qu’à garder tout ce sperme pour ma fille, ce soir ! me dit-elle avec un sourire coquin. Va, maintenant ; il faut que je me repose un peu et que tu ailles travailler…
Je la quittai, partagé entre la frustration et la satisfaction. Le soir, je pris Agnès en levrette avec violence et, heureuse surprise, elle ne râla pas. Au contraire, elle vint tendrement se lover contre mon épaule en me disant que c’était bien…
Le dimanche suivant, lors de notre traditionnelle digestion dans le jardin familial, elle m’autorisa à la toucher, mais avec un doigt seulement. Je choisis le majeur droit. Elle le suça avec son merveilleux sourire de vieille chienne en chaleur, se pencha en avant, remonta doucement sa jupe plissée kaki, baissa sa culotte blanche, écarta ses fesses, et j’eus le choix entre ses deux orifices. Je me décidai pour le moins lisse, le plus plissé, le plus étroit, le plus pervers, et mon doigt lubrifié entra comme dans du beurre. Il faut dire qu’Éliane est capable de prendre sans broncher le calibre deMister T ; alors, il est sûr que mon doigt – même s’il est majeur – ne va pas lui déchirer le cul. Je pistonnais doucement. Elle ronronnait. Je sentais sa rondelle se dilater, et l’envie de mettre un deuxième doigt était pressante. Mais je savais aussi que, sans autorisation, tout pouvait s’arrêter instantanément. Je ne tentai donc pas ma chance, laissant ...