Où Marie apprend
Datte: 19/08/2024,
Catégories:
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fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
caresses,
Oral
uro,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... contours de son corps. Aucune non plus ne se prive de nous serrer tour à tour dans se bras, Marie et moi, en nous embrassant chaleureusement.
Et quand je dis « chaleureusement », c’est qu’elles posent chacune leur bouche sur la nôtre, en nous pétrissant sans vergogne à travers nos robes légères. La découverte de l’absence du moindre dessous sur notre peau les incite aussi chacune à nous étreindre plus étroitement et à prolonger leurs palpations caressantes. Bref, un accueil des plus sympathiques comme des plus aptes à briser la glace des convenances.
Elles ont d’ailleurs l’amabilité de s’en expliquer aussitôt qu’elles nous ont libérées.
— Les amies de Colette sont nos amies, nous assurent-elles. Et les filles des amies de Colette le sont aussi !
Le quiproquo m’amuse, mais je tiens à la dissiper tout de suite en entourant Marie de mes bras, les mains posées là où un tel geste soulèverait l’opprobre médiatique s’il venait d’une génitrice. Ma supposée fille rougit à peine et Colette sourit de la confusion de ses amies. Je les absous de leur erreur en affirmant que j’aurais plaisir à avoir une fille comme Marie sauf que, heureusement pour elle et pour moi, elle ne l’est pas.
— Pardon. Nous avions mal compris, s’excuse celle qui ne doit me devancer que de quelques années.
C’est une rousse plantureuse dotée d’une poitrine avantageuse. Des fesses à l’avenant tendent le tissu qui se plaque sur son ventre où flamboie une touffe fournie à peine voilée. Ses cuisses ...
... se devinent fortes et son visage rond s’affiche aussi malicieusement rieur que ses yeux verts. Elle se prénomme Andréa, apprends-je.
À côté d’elle, une petite brunette pétillante qui porte allègrement sa cinquantaine moyenne s’avère être Martine. Sa tunique virginale flotte sur ses seins menus, ses hanches anguleuses et son cul pointu qu’animent plaisamment des jambes fines. Au bout de ses pieds nus d’un galbe délicat, les ongles de ses mignons orteils s’ornent de rouge ponceau comme autant de pétales de coquelicot.
— Et voici Janine, achève Colette. En fait, vous la connaissez déjà un peu, ma chère Chantal, si vous voulez bien vous rappeler certaine découverte de votre précédent séjour.
Je cherche dans ma mémoire en saluant la troisième dame blanche. Sensiblement du même âge que Colette et plus grande, elle conserve un port altier. Ses cheveux gardent le souvenir de leur blondeur et sa poitrine encore ferme témoigne d’un passé arrogant. Sa silhouette montre des formes pleines sans être empâtée, pas plus que ses fesses en pommes.
Malgré ses yeux durs, il y a en elle quelque chose qui m’est familier, mais je n’arrive pas à trouver quoi.
— Peut-être aurais-je dû dire Maître Janine G* et parler d’un cadeau qu’elle me fit et que vous essayâtes, reprend Colette dans un sourire.
Bien sûr ! Avec cet indice tout s’éclaire. Du moins le crois-je et me risque.
— Madame Gwladys ?
Le regard s’éclaire et la voix se fait velours, nonobstant une pointe d’amusement ...