Où Marie apprend
Datte: 19/08/2024,
Catégories:
f,
fff,
fplusag,
vacances,
voiture,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
caresses,
Oral
uro,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... travers les vitres. S’il avait la curiosité de s’arrêter… Mais non, il continue. Ouf !
J’ai cru entendre un petit cri au milieu du tintamarre du vieux diesel. Je regarde Marie, elle est pâle. Son entrejambe chevauche un court, mais malencontreux buisson dont elle a négligé de se prévenir dans sa précipitation. Elle en paye les conséquences à chatte comptant et n’ose pas se redresser de peur de les aggraver. Je vole à son secours.
— Ne bouge pas, ma puce. Je vais t’aider, ris-je en m’accroupissant à sa hauteur.
Ce n’est pas si simple. Les branchettes piquantes se sont entremêlées au hasard, les unes couchées par les cuisses, les autres crochetées qui dans la fente, qui dans le sillon. Vu ! Je procède avec méthode et délicatesse pour les dégager, négligeant à mon tour leurs voisines qui flirtent avec mon entaille. Je déplie, je courbe, j’écarte, je retire, j’ouvre, j’enlève, je m’applique tandis que mes propres lèvres endurent le rude gratouillis de la nature sauvage. Oui, mais je gagne, je libère, je triomphe !
— Je crois qu’il reste des épines, s’interroge Marie remise sur pieds.
Allons bon ! C’est reparti pour une séance de grattage de chatte – non, inutile d’attendre le tirage – que je m’impose pour examiner plus en détail la craquette et la rosette graffignées. J’ôte en effet deux ou trois pointes inconvenantes fichées dans les grandes lèvres, trois ou quatre dans les petites, plus fragiles et exposées, fatalement. Il en résulte quelques perles de sang ...
... clair. En revanche, les fesses et le trouduc sont indemnes. Marie est sauvée !
— Tu sais quoi, ma puce ? On va faire comme pour les morsures de serpent, des fois que la plante serait vénéneuse…
— Vous êtes une coquine, Chantal, rigole-t-elle en saisissant l’analogie.
Elle me présente son cul. Ce n’est pas là qu’il y aurait le plus de dommages, mais deux précautions valent mieux qu’une. Ses fesses sont à bonne portée, il me suffit de les prendre à pleines mains pour révéler un sillon onctueux sur lequel je passe la langue. C’est âcre, salé, un recueil de plusieurs heures de transpiration nuancé d’une touche de musc issu des plus secrètes glandes. Par acquit de conscience, je renouvelle mon application de salive jusqu’à n’avoir que le goût de la peau, et, par voie de conséquence, être sûre qu’aucune brindille si fine soit-t-elle ne reste ancrée dans le fragile épiderme.
J’ignore superbement les frissons provoqués par les attouchements linguaux de la rosette qui en réclamerait plus, pour faire pivoter ma patiente et m’occuper de ses griffures autrement sérieuses. Le parfum qui me saute au nez justifie la nécessité d’une action antiseptique sans délai. Ce ne sont pas les effluves fauves de la nuit dernière, mais ça les évoque bien. Les aines sont acides. La vieille sueur s’y dilue cependant assez rapidement sous l’effet d’un léchage actif. Elles n’ont pas souffert d’agression et une prompte propreté leur garantit un avenir dénué d’infection. Il est temps de me focaliser sur ...