1793 -- La Petite Histoire de Marie
Datte: 15/08/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bydicordoba, Source: Literotica
... différent.
Le linge humide descendit lentement le long de son dos, faisant des cercles de plus en plus grands. Lorsqu'il commença à laver ses fesses, une certaine excitation s'empara de la jeune femme, ne comprenant pas pourquoi. Il s'y attarda longtemps, prenant beaucoup de plaisir à nettoyer le petit cul de la jeune femme
Après lui avoir également lavé l'arrière de ses cuisses il lui demanda de lui faire face, ce qu'elle fit sans rechigner.
L'homme rinça longuement sa lavette dans la cuvette avant de commencer, d'une main tremblante, par la jolie poitrine de la jeune noble. C'était la première fois qu'un corps de femme le mettait dans cet état et il essaya de se calmer.
La texture des seins était incroyable et il s'y attarda longuement. Il adora faire passer le mince textile sur les tétons qui pointaient alors que la jeune fille se sentait de plus en plus mal.
On ne lui avait jamais parlé des rapports entre les hommes et les femmes alors qu'elle avait tout de même dix-huit ans. Lorsqu'elle se trouvait au couvent, tout ce qui touchait le sexe était strictement banni.
- tu aimes quand je te lave? demanda l'homme
- hein! heu... oui
Tout en disant ça, il abandonna la poitrine pour glisser lentement la lavette sur le ventre de la fille. Fixant son visage alors que le linge prenait la direction du pubis, il put constater que cette dernière, en sentant le tissu glisser vers son sexe, avait fermé les yeux.
Elle se mordit les lèvres lorsqu'il lui lava son ...
... intimité, faisant quelques passages bien appuyés sur la petite chatte encore inviolée.
L'aubergiste, tout en nettoyant le sexe de la jeune femme, sentit une érection tendre son pantalon comme jamais jusqu'à ce jour. Cette petite « sang bleu » le mettait dans tous ses états et jamais il n'aurait pu s'imaginer qu'elle serait aussi docile.
Avec un corps comme le sien cela aurait été un sacrilège que de le décapiter sans en profiter avant.
Jamais Marie n'avait été autant excitée, ne comprenant vraiment pas ce qui lui arrivait. Plus l'homme la lavait et plus elle se sentait étrange. Lorsqu'il lui avait nettoyé le sexe, elle avait eu tout son corps qui avait été traversé par une sensation incroyable et elle avait ressenti un plaisir difficilement descriptible. - Va t'allonger sur le lit
- hein, pourquoi?
- obéis, j'ai trop envie de te baiser.
La jeune femme eut très peur d'un coup. Les paroles de l'homme lui firent l'effet d'un coup de tonnerre et elle balbutia
- Mais, c'est impossible, je ne peux le faire qu'avec mon futur mari.
- C'est des conneries qu'on t'a apprises et tous ceux qui auraient pu t'épouser ont la tête séparée du corps.
Marie se mit à trembler, comprenant que la situation lui échappait. Jamais elle n'aurait dû autoriser l'aubergiste à la laver et là elle ne savait plus quoi faire. Se rappelant tout ce que les sœurs du couvent lui avaient enseigné, elle insista.
- Mais c'est mal, je ne peux pas vous donner ma virginité. Ce n'est pas ce ...