1793 -- La Petite Histoire de Marie
Datte: 15/08/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bydicordoba, Source: Literotica
... comprenait pas pourquoi l'homme demandait une telle chose. Jamais encore aucun homme ne l'avait vu nue et la seule qui l'avait lavée jusqu'à ce jour était Églantine, sa nounou.
- Mais, je ne peux pas.
- Dépêches-toi ou je t'emmène tout droit chez les sans-culottes pour ne pas finir avec toi la tête dans le panier.
La jeune femme qui avait trouvé l'homme sympathique au début, commençait à revenir sur ses impressions. Elle tremblait à l'idée de se montrer nue mais avait-elle le choix.
S'il l'emmenait chez les révolutionnaires, c'était la mort assurée.
Tremblante, elle commença à délasser son jupon et lorsque ce fut fait, elle le fit passer par dessus sa tête, se dévoilant à l'aubergiste.
Ce dernier, en découvrant le jeune corps en eut le souffle coupé. Il avait déjà eu de nombreuses maîtresses mais aucune n'était aussi belle. Beaucoup avaient été abîmées par la vie rude du monde rural et même la dernière servante qui était pourtant jeune, était loin de ressembler à cette jeune noble.
Marie était mince mais harmonieusement proportionnée. Sa peau laiteuse la rendait délicate et tout chez elle était parfait. Ses seins pas très gros et en forme de poire étaient des plus appétissants, son ventre plat, sa taille fine et ses cuisses galbées étaient dignes du plus beau des rêves. Une toison presque transparente garnissait son mont de vénus et on devinait un sexe bien dessiné qui était une ode à l'amour.
L'homme resta muet un moment, admirant le corps de la ...
... jeune femme alors que cette dernière, immobile, ne savait plus quoi faire.
De voir l'aubergiste la contempler ainsi mettait la jeune femme dans un drôle d'état. C'était la première fois qu'un homme la regardait alors qu'elle était nue et elle ne savait pas trop pourquoi elle n'était pas outrée.
- Approches, que je te nettoie, se décida-t-il à dire.
En entendant l'homme lui demander de s'approcher, Marie paniqua. Elle ne savait pas si elle devait obéir tant la demande était déroutante. Voyant qu'elle ne bougeait pas, Paulin insista.
- Je ne vais pas te manger, viens que je te lave. Je ne veux pas d'une souillon à l'auberge.
La jeune femme finit tout de même pas se décider et se rapprocha de l'homme qui était resté assis sur la chaise.
- Retourne-toi, dit il alors qu'il se saisissait de la lavette qui était resté dans l'eau de la cuvette.
Marie n'aurait jamais pensé obéir à un homme du peuple, elle qui était née de bonne famille. Pourtant, vu comme les choses en France avaient changé, elle ne pensa même pas à se rebeller et se positionna comme demandé.
- Tu es aussi belle de dos que de face.
La jeune femme tressaillit lorsque d'une main il dégagea ses cheveux pour passer le tissu mouillé dans son cou. Elle réussit tout de même à rester immobile alors que la lavette continuait sur ses épaules.
Elle se sentait de plus en plus bizarre d'être ainsi touchée. Jamais encore elle n'avait ressenti ça lorsque sa nounou la lavait et là c'était complètement ...