1793 -- La Petite Histoire de Marie
Datte: 15/08/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bydicordoba, Source: Literotica
... chambre après lui avoir remonté la couverture sur elle. Une fois qu'elle se retrouva seule, elle ne put s'empêcher de se caresser longuement tellement cela l'avait excitée. Elle était toute mouillée et mit pas mal de temps avant d'être rassasiée sexuellement.
Il devait être très tôt lorsqu'elle émergeât de nouveau. Sa chambre était faiblement éclairée par le soleil encore très bas mais ce n'était pas cela qui était la cause de son réveil. Ce qui en était à l'origine, c'était la fraîcheur sur sa peau car plus rien ne la recouvrait.
Tournant les yeux vers la fenêtre, elle le vit, immobile, les yeux fixant son corps. Jean était revenu et après avoir retiré la couverture qui la protégeait du froid, il l'admirait en silence.
Elle frissonna en le découvrant mais ses tremblements n'étaient pas dus à la température. Elle ne savait pas si elle devait rester sans bouger ou le mettre dehors. Elle se dit qu'ils risquaient de la renvoyer si elle réagissait mal et comme elle n'avait pas envie de se retrouver à la rue, elle préféra rester immobile.
En voyant qu'elle était réveillée et qu'elle le regardait, Jean lui sourit, ce qui surprit la jeune femme qui l'avait toujours vu renfrogné.
- Tu es belle
- Merci
- je peux te toucher
Marie fut surprise par la demande de l'homme qui avait sur le visage la même expression qu'un enfant désirant un gâteau. Il était complètement différent de la veille et elle ne voulut pas lui faire de la peine.
- Oui, vous pouvez me ...
... toucher.
L'homme vint s'asseoir sur le bord du lit et posa sa main sur le ventre de la fille qui sursauta légèrement. Lorsqu'il se pencha sur sa poitrine, la jeune femme ferma les yeux, excitée par ce qu'il faisait. Elle poussa un léger gémissement lorsque la bouche de l'aubergiste se referma sur un de ses tétons et qu'il la mordit légèrement. Il se mit à la téter comme l'aurait fait un bébé et malgré la douleur, elle adora ça.
- je peux savoir ce que tu fais, cria Paulin qui venait de rentrer dans la chambre.
Marie sursauta mais le plus paniqué fut Jean qui se releva à toute vitesse pour aller se réfugier contre un mur.
- Elle m'a autorisé, dit-il au bord des larmes.
La jeune femme, en voyant comment était traité le pauvre Jean, ne put s'empêcher d'intervenir.
- Il dit la vérité, je l'ai autorisé à le faire.
- Il t'a demandé?
- Oui et j'ai accepté.
En voyant que la jeune femme prenait la défense de son frère, Paulin se calma.
- Et qu'est-ce que tu lui as permis de faire d'autre?
- Heu! tout ce qu'il voulait.
- Tout ce qu'il voulait?
- Heu! oui
- Et il t'a dit qu'il était encore puceau?
Ce fut Jean qui l'interrompit
- Ce n'est pas, ne lui dit pas ça. Je suis un homme.
- Tu la veux?
- oui
Paulin resta un certain temps silencieux avant de finir par dire.
- Ok, je vais préparer le déjeuner, je te laisse avec elle. Après ce sera à mon tour.
Marie n'en croyait pas ses oreilles. Il parlait d'elle comme si elle était un simple ...