Andréa
Datte: 11/08/2024,
Catégories:
ff,
fplusag,
jeunes,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
caresses,
Oral
fist,
fdanus,
uro,
fouetfesse,
piquepince,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... dit ses yeux, mais pas du tout sa bouche. Le visage d'Andréa est plutôt rond, et en cela nous nous ressemblons un peu. Sa figure est souvent rieuse, ce qui accentue les ridules au coin des paupières et des fossettes de ses joues pleines. De légères taches de rousseur les parsèment en toute liberté : Andréa ne se tartine pas de fond de teint. Son maquillage se limite à quelques touches de fard ténues, voire aucune quand nous sommes seules ou entre amies. Elle ne concède aux artifices que le luxe, raisonnable, d’un parfum soigneusement sélectionné dans la gamme d’une production artisanale.
Elle a découvert son graal il y a longtemps, à l’occasion d’un voyage en Corse et d’une visite imprévue dans un petit laboratoire de distillations aromatiques. Elle y est retournée chaque matin de son séjour pour essayer l’une des essences disponibles et en apprécier à l’usage la combinaison avec son odeur corporelle. Elle s’est fixée sur une fragrance citronnée. Depuis, elle ne porte plus que celle-ci qu’elle fait venir par cartons. À raison d’une goutte quotidienne sous l’oreille, à la base du cou et entre les seins, une ou deux commandes annuelles lui suffisent amplement. Son choix ne me va pas, mais lorsqu’elle me rend visite j’ai droit à un petit vaporisateur d’un parfum aux effluves de mandarine qui s’accorde parfaitement avec les miennes, toutes les miennes…
Tu imagines les accords citron/mandarine rehaussés des exhalaisons de nos peaux et des aromes de notre excitation quand ...
... nous nous enlaçons. Une symphonie olfactive à quatre lèvres si ce n’est pas à huit ! Mais restons, par décence, sur celles du haut. Les siennes ont la couleur des fraises du printemps, à tel point que parfois je brûle de les mordre. De les mordre d’amour, pour Andréa bien sûr, en les suçant des miennes, en forçant de ma langue leur sourire mutin, et pour aller goûter, au bord d’elles, son âme… Bref, à ma façon, un peu lui respirer le cœur. Du mauvais Cyrano, c’est quand même mieux que le rustique« soupe de langues », non ?
Ah ! J’oubliais ses bras et ses chevilles. Par ses bras, je veux dire plutôt ses aisselles. Depuis quelques années, je les laisse comme elle, à l’état de nature. Foin de déodorant et de crème dépilatoire ! L’acidité de la sueur sur ses poils roux offre à mes narines les prémisses d’autres senteurs et ses baisers mouillés dans ces creux si sensibles me donnent des frissons tout le long de l’échine. Pour finir, donc, ses chevilles, et par force ses pieds. Ils sont grecs, paraît-il, ou égyptiens, peut-être. Je n’ai jamais trop su quel est le bon pays. Que les unes soient fines et les autres mignons, me suffit amplement pour les couvrir de caresses et de suçotements, surtout sur les orteils auxquels je rends un hommage régulier de la bouche et parfois de la chatte.
Que te dire de plus ? Peut-être quelques exemples de ce que l’amour nous commande pour satisfaire réciproquement nos désirs les plus troubles.
Se donner la fessée, n’est que banalité. J’aime ...