Andréa
Datte: 11/08/2024,
Catégories:
ff,
fplusag,
jeunes,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
caresses,
Oral
fist,
fdanus,
uro,
fouetfesse,
piquepince,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
Au printemps, les boutons de roses fleurissent. C’est la Loi de la Nature. Et la nature humaine est ainsi faite qu’elle se plie à cette même Loi. L’avantage de la partie féminine de l’espèce humaine est de ne pas devoir attendre spécialement le printemps pour que son bouton bourgeonne. Mais cette saison peut y aider, n’est-ce pas ? Bon, je vous concède deux remarques : il y a parfois des boutons dont nous ne sommes pas particulièrement heureuses ; il faut bien admettre aussi qu’en toute logique deux autres bourgeons se gonflent concomitamment au susdit.
Or donc, un début de printemps, l’auteure se vit invitée, et quasiment kidnappée, pour un séjour d’agrément en émouvante compagnie. Soucieuse de ses devoirs de Marraine, elle s’empressa d’avertir sa Filleule et plus proche lectrice que leur traditionnel échange du soir ne se déroulerait pas selon leurs habitudes. Le temps manquant, la Filleule étant prise par ses cours, elle lui adressa un rapide message.
Les péripéties et les anecdotes qui égaillèrent le voyage des deux commères – Andréa s’était découvert aussi une tendre affection pour la filleule de son amie – et l’installation dans leur retraite campagnarde, mériteraient d’être contées dans le détail. Pour ne pas nous disperser, disons seulement qu’elles s’appliquèrent plusieurs fois à comparer et à apprécier les turgescences sensibles de leurs bourgeons. Une saine occupation sensuelle qui les mena agréablement jusqu’à la délivrance pour l’auteure de ses ...
... craintes.
— Bonsoir ma Chérie. Oui, vous pouvez tout faire lire à Andréa, tout, tout, tout !
— Oh, ma Puce, merci !
— Ben, ma Chérie, à vous de voir si vous en avez le courage ! Pour ma part, si c’est elle, ça ne me dérange pas.
— Ma petite puce chérie, d’abord je veux que tu me tutoies à présent ! Non, ne m’interrompt pas. Je t’ai trop donné de moi, tu m’as trop donné de toi, nous sommes trop intimes pour continuer à nous vouvoyer ou, pire encore, que tu me vouvoies et que je te dise tu. Voilà !
— Mais ma Chérie, j’avais peur de laisser échapper un « tu » depuis longtemps !
— Je ne me serais pas fâchée : j’y pensais aussi mais je craignais de te choquer.
— Et dire que j’avais peur de me tromper ! Maintenant c’est presque l’inverse. Ne m’en veux pas si parfois je te dis encore « vous ».
— Si tu le fais, tu auras un gage ! Ha, ha, ha !
— J’entends mal. Qu’est-ce que v… tu as dit ?
— Le réseau est faible, ici. Je disais que j’ai donné mon portable à Andréa. Elle a commencé à lire à côté de moi. Il faut que tu le saches.
— Ça me fait tout bizarre de savoir qu’elle va me connaître aussi bien que toi !
— En contrepartie, je te ferai son portrait, ma Puce. D’ailleurs, elle se propose de poser pour que tu aies le tableau le plus exact, la coquine !
— Fais vite, alors, je suis impatiente ! Je l’embrasse et je t’embrasse.
— Bises tendres ma Puce. J’astiquerai bien la moule de Andréa pour toi pour ce soir. Elle veut te dire bonsoir.
— Merci de votre confiance et bises aussi, ...