Andréa
Datte: 11/08/2024,
Catégories:
ff,
fplusag,
jeunes,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
caresses,
Oral
fist,
fdanus,
uro,
fouetfesse,
piquepince,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... claquer ses fesses nues qu’elle est ravie de m’offrir. Elle aime rougir mon cul que je lui donne nu. Nous aimons toutes deux la chaleur qu’on ressent et qui nous envahit. À nos mains trop communes se substituent souvent différents accessoires. L’utile martinet n’a rien que de classique. J’ai suggéré la règle, ce qui l’a fait tiquer. Pour me faire plaisir, elle l’a adoptée.
J’avais nourri longtemps une sourde attirance : le fantasme secret d’éprouver la souffrance. J’étais bien trop timide, ignorante et prudente, pour le réaliser avec n’importe qui en club spécialisé. Andréa avait plus d’expérience que moi, du moins en théorie glanée ici et là de ses fréquentations en milieux interlopes. Elle s’est proposée pour me faire essayer, car si je ne pouvais supporter la douleur je n’aurais pas de honte à le lui avouer. Nous nous sommes lancées, elle comme Maîtresse et moi comme Soumise. Nous avons tâtonné, recherché, consulté, reproduit. J’ai aimé ! J’ai aimé cet abandon total, ce plaisir sublimé, cet orgasme affolé, ce souhait ahuri d’aller toujours plus loin. Nous avons constaté que le plus difficile n’est pas de se donner, mais bien de dominer.
Nous avons inversé. Andréa le voulait. Était t’elle jalouse de mes ravissements ? En un sens oui, pour les ressentir elle-même. La contamination par l’exemple, en quelque sorte, mais aussi par l’amour. L’amour qui la poussait à partager les peines que je subissais autant que le surcroît d’affection qui l’emplissait en me les ...
... infligeant. Je sais : pour qui ne l’a pas expérimenté, ce n’est pas évident. Pourtant, c’est bien ce sentiment qui lie de façon absolue maîtresse et soumise. Sans lui, il n’y a que des rapports tarifés ou pervers. Avec lui, le seul risque est de ne pouvoir respecter ses limites.
Nous les avons quelques fois dépassées. Souvent avec bonheur, parfois avec terreur. Fouetter une chatte suscite de la crainte des deux côtés du manche. La peur surmontée, la douleur devient source de plaisir et celui de la masturbation qui suit s’en trouve décuplé, pour peu que l’on s’arrête avant que de blesser. Sur les seins, c’est pareil. Sur les fesses, le dos ou les cuisses, c’est un troublant hors-d’œuvre. Puis nous sommes passées aux pinces et aux aiguilles. Aux tétons et aux lèvres, les premières agressent durement à la pose. Ensuite on s’habitue, la souffrance s’endort. C’est lorsqu’on les enlève qu’elle revient plus vive et longuement, cependant que la mouille dégorge de ton sexe. Pour les secondes, c’est autre chose…
D’abord, le jeu est plus rare. Il faut se procurer des aiguilles pour seringues médicales – on ne peut pas en acheter tous les jours ! – et les garder stériles jusqu’à l’usage. Dedans ou à travers les bouts de sein et les lèvres de la vulve, la douleur est aigue au début, mais s’estompe vite tant qu’on ne maltraite pas la zone concernée. Le retrait est peu agréable bien que très supportable. Ce n’est pas une pratique habituelle entre Andréa et moi. Nous n’en tirons pas une immense ...