Le GPS ne ment pas !
Datte: 07/08/2024,
Catégories:
fh,
extracon,
voisins,
vacances,
piscine,
humilié(e),
vengeance,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
hsodo,
confession,
couple,
Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe
... doucement. Mon Dieu que cela fait mal. Ce que j’ai vu est déjà insupportable dans la trahison et l’abject, mais ce n’était que du cul, de la réalisation de bas instincts, mais cette douceur change la donne. Ce n’est pas qu’un couple qui l’utilise comme jouet pour leur plaisir et le sien, ce sont des amants de cœur. Anne est-elle amoureuse ? De l’un, de l’autre, des deux ?
C’est à moi d’être anéanti. Je retire les écouteurs de mes oreilles. Le silence est rempli de chants d’oiseaux, de bourdonnements d’abeilles, du clapotis de l’eau de piscine, mais dans mon cerveau un hurlement couvre tout. Là-bas, dans les chambres, le trio se repose. Et moi je deviens quoi dans cette histoire ? J’en suis exclu. Je ne suis que le mari que l’on berne, que l’on cocufie, tous les vendredis et probablement à d’autres moments. Ces sorties cinéma avec Lise ? Serge devait aller les rejoindre, à moins que tout simplement elles ne reviennent chez eux et baisent de l’autre côté de la cloison… Cette invitation surprise : un plan prévu de longue date, une réservation bidon. Ce claquage : une excuse pour rester avec les femmes et baiser avec elles pendant que ce con de mari parcourt les routes sur son vélo…
Un coup d’œil sur le petit écran avant d’éteindre. Qu’est-ce que je fais ? Je suis le plus con des maris, aveugle, confiant.
Ils ont bougé. Anne a repris ses esprits, mais Serge montre encore une grosse érection. Il faut reconnaître qu’il a de l’endurance pour ne pas jouir alors qu’il était ...
... au chaud et que…
Lise fait allonger Anne. Non, pas allonger, mais en levrette. Non, pas une vraie levrette à quatre pattes, mais le visage plaqué contre la serviette du transat et la croupe en l’air dans une position encore plus provocante.
Les intentions de Serge sont évidentes. Il s’installe derrière elle et à la façon dont il guide son baobab, c’est vers le petit trou qu’il aspire. Qu’il aspire ? Mais non, c’est le cul de ma traînée de femme qui l’aspire en elle.
Faire de l’humour dans un moment pareil, t’es non seulement cocu, mais con en plus…
Le gros machin passe comme une lettre à la poste. Il faut dire que cela brille de partout et que Lise avait dû largement lubrifier les lieux.
Elle est prise jusqu’à la garde. Il va la pistonner. Elle n’en a donc jamais assez ? Je comprends son manque d’enthousiasme pour nos siestes crapuleuses. La salope, elle s’était déjà fait ramoner par eux le matin, alors, pensez, un petit coup avec le mari, c’était superflu et la comparaison ne devait pas être en ma faveur.
Mais c’est comme si Serge attendait, le ventre collé contre le cul de ma traînée d’épouse. Il regarde vers Lise. Lise toujours équipée du mandrin noir qu’elle vient de nettoyer. Elle s’avance. Elle tient dans la main le flacon. Elle… Non, ce n’est pas possible… Pas avec lui… Pas…
Mais si. C’est bien le petit trou de son mari qu’elle lubrifie. C’est bien contre ce petit trou qu’elle place le mandrin noir. C’est le muscle d’un homme qui cède et c’est le ...