1. Le GPS ne ment pas !


    Datte: 07/08/2024, Catégories: fh, extracon, voisins, vacances, piscine, humilié(e), vengeance, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, confession, couple, Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe

    ... inaction surprend. Ses mouvements les dénoncent.
    
    Anne qui se penche un peu plus sur son amant. Le même amant dont les mains se plaquent sur les fesses d’Anne pour les ouvrir. Lise qui s’approche, conquérante, sûre d’elle, le gode entre les cuisses, un flacon à la main. Une fiole dont elle laisse tomber quelques gouttes dans la raie que son mari lui propose. Ces gouttes que la pointe du gode noir dirige. La pointe du gode bouge, étalant la crème. Le bout qui se place. Le bout qui appuie. Le bout qui force, pointe arrondie qui n’est que l’avant-garde de plus gros et long. Ce souffle que la pute expulse alors que le gode force le passage. Cette tête qui vient se lover contre le cou de son amant. Ces bras qui l’enveloppent non comme dans une camisole, mais comme un carcan de douceur. Ce long feulement que le micro arrive à capter alors que son objectif me montre la longue tige noire disparaître lentement dans ce cul de traînée.
    
    Et puis elle se redresse. Quelques secondes où elle ne fait que chercher la bonne position. La chienne ne cherche pas à se libérer, au contraire, elle « profite » de ces deux chevilles qui… Mon Dieu, comment fait-elle pour accepter ces deux choses dans son intimité ? Si son petit trou a été longtemps abandonné pendant la période où nous cherchions désespérément à faire un enfant, il est revenu en grâce depuis que ce projet est abandonné. Mais jamais nous n’avons joué à cela…
    
    Mais son immobilité relative est bien vite un souvenir. Si ses comparses ...
    ... sont presque immobiles, c’est elle qui bouge sur eux. Pour avoir vu des films de cul avec ce genre de situation, je sais que ce n’est pas évident que les deux engins restent en place.
    
    C’est évident. C’est loin d’être leur première fois. Depuis combien de temps les vendredis après-midi sont-ils des moments de luxure ? Combien de fois le trio a-t-il répété ce genre de position pour être si à l’aise ? Qui aurait pu se douter ? Certes, Anne a toujours aimé le sexe, mais je pensais que ses cris de jouissances montraient que je la satisfaisais totalement. Alors, pourquoi aller voir ailleurs ?
    
    Elle bouge. Ses coups de reins font merveille. Son visage est toujours dévasté par sa fellation « assistée » et « insistante », mais il rayonne. Je ne la reconnais plus. C’est une autre. Elle a quitté mon monde pour se plonger dans celui du vice et du plaisir à tout prix. Et le plaisir lui arrive. Même si elle ne le disait pas, ses mouvements la trahiraient. Elle le dit. C’est encore plus choquant alors qu’avec moi il y a une éternité qu’elle n’a pas accompagné sa jouissance de telles paroles. Des cris, des « oui », des soupirs, mais pas cette litanie avec des :
    
    — C’est bon… C’est bon… Tords-moi les tétons… Claque mes fesses… Je viens… Je viens… Ouiiiiiiiiiii !
    
    Elle s’effondre, manifestement anéantie.
    
    Oh, mon Dieu Serge qui la cajole, qui l’embrasse dans le cou. Et Lise qui s’est retirée et vient pour la câliner aussi. Ce baiser, si tendre, cette main sur son dos qui la caresse ...
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