-
Le GPS ne ment pas !
Datte: 07/08/2024, Catégories: fh, extracon, voisins, vacances, piscine, humilié(e), vengeance, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, confession, couple, Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe
... genre :« Elle est vraiment belle. Il ne la mérite pas » ; « Mais qu’est-ce qu’il a de plus que moi ce mec pour que sa femme vienne l’implorer chaque jour. Ce n’est pas la mienne qui ferait pareil. Quel courage ! » ; « J’ai entendu dire qu’elle l’avait trompé et qu’il l’a virée. Moi si j’avais un mari pareil, je me le garderais bien au chaud et je n’irais pas voir ailleurs. En tout cas on peut dire ce qu’on veut, elle en a, pour s’humilier devant tout le monde. Il faut vraiment qu’elle tienne à lui. » Tu veux d’autres exemples ? Personne ne se moque de toi. Tous les mecs voudraient une femme comme la tienne, amoureuse au point de se moquer du qu’en-dira-t-on dans l’espoir de te reconquérir. — Ah ? — Bernard, ouvre les yeux. Anne a merdé, c’est vrai ! J’imagine qu’elle s’est expliquée. Mais ce n’est pas la fin du monde. Si tous les mecs cocus renvoyaient leur femme et que les femmes fassent pareil, alors on serait tous célibataires… Je pense. Pas simplement cocu. Avec une femme ET un homme. Mais Armand est lancé : — … Pardonne-lui. Elle t’aime et c’est le principal. Tu as qu’à dire : « Maîtresse contre Amant » et tourne la page. À ...
... toutes tes qualités,Il sourit, ajoute le pardon. La vraie question que tu dois te poser est : est-ce que j’aime encore ma femme ? Tout le reste c’est du pipeau ou de l’orgueil mal placé. J’ai mis toute une nuit pour écrire une simple phrase, un SMS : J’ai été étonné de la rapidité de la réponse : J’ai mis toute la journée à proposer un endroit. J’hésitais entre : Un café ? Mais trop banal et me connaissant, je n’aurais pas pu parler avec sincérité. Un restaurant ? Moins banal, plus « positif », mais toujours difficile pour moi. Chez moi. Trop rapide. Chez nous. C’est pardonner trop vite. Eurêka : C’était il y a… Des années. Un groupe d’amis. Première rencontre avec Anne. Le coup de foudre. On s’était laissé distancer. On s’était enfoncé dans la forêt jusqu’à ne plus entendre le bruit des randonneurs. Elle s’était donnée à moi sur un lit de fougère. On avait gravé nos prénoms et la date dans l’écorce du chêne qui nous dominait alors que nous avions fait l’amour pendant des heures. Il y a deux ans on a refait le même chemin. Le chêne est toujours là. Je saurais retrouver le chemin. Elle aussi. Une façon de tout recommencer à zéro…