1. Le GPS ne ment pas !


    Datte: 07/08/2024, Catégories: fh, extracon, voisins, vacances, piscine, humilié(e), vengeance, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, confession, couple, Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe

    ... cul de son mari qu’elle envahit.
    
    Je vois sur le visage de Serge des expressions de….
    
    Ça suffit. Je ne vais tout de même pas regarder une lopette se faire enculer. Déjà qu’il couine alors que sa femme le laboure avec une force qui dénonce leurs coupables attitudes. Elle y va si fort qu’Anne s’accroche aux bords du transat pour ne pas être emportée par la furie. Lise y met tout son cœur. Une façon de faire payer à son mari tout le plaisir qu’il retire de leur maîtresse commune…
    
    — Écoutez, Bernard, il faut que vous fassiez quelque chose. Cela ne peut pas continuer. Votre femme, chaque soir, qui vous attend. Cela fait des jours, des semaines. Tout le monde se demande ce qui se passe. On commence à jaser. Vous passez sans rien dire et pourtant, qu’il vente, qu’il pleuve, elle est là. Quelles que soient vos raisons, faites le nécessaire pour que cela cesse.
    
    Mon patron maintenant qui s’y met. Je vois bien le regard des autres. J’imagine que je suis la risée de mes collègues. Tout le monde doit savoir que je suis cocu. Ah, la garce, elle a bien réussi son coup. Si elle voulait me foutre la honte, elle a réussi. Maintenant, c’est moi qui suis coupable aux yeux des autres. Ma vengeance prend une mauvaise tournure, pourtant j’avais pris une décision radicale et sans appel :
    
    Aucun n’a cherché à me parler. Les voisins s’arrangent pour qu’on ne se croise pas. Mais, mais…
    
    Chaque soir, elle est sur le trottoir en face de la sortie de l’atelier. Elle est là, elle attend, ...
    ... mais elle ne cherche pas à me parler. Personne ne m’en parle, à part le patron qui me demande de faire cesser cette comédie.
    
    — Tu ne dois plus venir ici.
    — Je resterai autant de temps qu’il faudra.
    — Tout le monde te regarde. Le patron veut appeler la police.
    — Qu’ils viennent et je m’expliquerai.
    — Tu veux quoi ? Pas question que tu reviennes.
    — Juste parler. T’expliquer.
    — Il n’y a rien à expliquer. Tu t’es comportée en salope. Tu n’es plus ma femme.
    — Peut-être, mais je ne partirai pas d’ici sans que tu ne m’écoutes.
    — Alors, allons-y. Je t’écoute.
    — Non pas ici. Dans un café, et je veux ta promesse que tu m’écouteras jusqu’au bout.
    — Bon d’accord. Mais après tu partiras.
    — Pour toujours.
    — Ne me menace pas.
    — Rassure-toi, je ne vais pas me suicider. C’est juste une expression.
    — Je t’écoute.
    
    Nous sommes à la terrasse d’un café. C’est surréaliste. Les gens passent, il fait beau.
    
    — Sans revenir trop en arrière, j’imagine que tu te souviens de toute cette période avec les FIV qui échouaient les unes après les autres.
    — Évidemment.
    — Tu te souviens de ton refus d’essayer en Espagne pour une autre technique.
    — Nous avons pris la décision ensemble.
    — C’est ce que tu t’imagines, mais en réalité c’est toi qui as imposé ton choix.
    — Peut-être, mais…
    — Je n’ai pas protesté, tu me l’accordes ?
    — Mettons.
    — Pour ce qui est de l’adoption, tu es bien d’accord que c’est toi qui as refusé d’envisager cette possibilité.
    — C’est vrai. Il n’aurait pas eu notre ...
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