1. Au temps de Giono


    Datte: 07/08/2024, Catégories: fh, extracon, campagne, caresses, Oral pénétratio, fouetfesse, historique, extraconj, candaul, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... serais tombé amoureux si elle n’avait pas été à toi. Après, je l’ai remise en position pour qu’elle me pompe. Et je peux te dire qu’elle a pompé. Elle en avait envie, la petite. J’étais raide comme jamais et elle m’a avalé la queue comme un sucre d’orge. C’est une grande bouche qu’elle a, et elle sait y faire. Des petits coups de langue, des va-et-vient à un rythme d’enfer, sa petite main qui me caressait gentiment les couilles, des regards mouillés à en perdre la tête, j’ai failli lui balancer la purée dans la bouche, mais elle avait une autre idée de la suite, visiblement parce qu’elle s’est arrêtée d’elle-même. Elle s’est couchée dans l’herbe, cuisses écartées, offerte, à attendre que je l’enfile, sans me quitter du regard. C’était un sacré spectacle, mais je ne voulais pas, moi, pas comme ça, pas comme un mari et sa femme. Alors je l’ai retournée, je l’ai mise à quatre pattes comme une petite chienne et elle s’est laissé faire, comme la petite bête qu’elle est. Elle se cambrait bien pour m’offrir son abricot. Le cul était toujours rouge, ses mamelles pendaient sous elle. Je l’ai empoignée par la chevelure, à pleine main, et je l’ai enfilée. C’est une merveille, ta femme, à l’intérieur comme à l’extérieur. Elle est mouillée, chaude et on sent ses chairs qui palpitent tout autour. J’étais bien dans ta femme, Raymond.
    — Continue de raconter, merde, je m’en fous de ce que tu as ressenti toi !
    — Bon. Avant que je commence à la limer, elle m’a prévenu « Fourre-moi bien, ...
    ... Antoine », elle a dit « mais à la fin, tu ne me balances pas ton vieux sperme partout sur moi, s’il te plaît. Je veux tout au fond de mon ventre, le plus au fond que tu peux, gros salaud ».
    — Elle a dit ça ?
    — Mot pour mot. Je l’ai limée comme jamais, comme un étalon que j’ai vu une fois dans la plaine de La Crau, comme un gorille.
    — T’as déjà vu des gorilles, toi ?
    — Non, mais j’ai lu des livres. Et j’imaginais ça quand je baisais ta femme, ça me rendait encore plus fort. Je peux te dire que ça cognait sec, je te la secouais dans tous les sens et elle couinait encore que ça m’excitait plus si c’est possible. Tu serais arrivé avec un fusil à ce moment-là que je ne me serais pas arrêté.
    — Tu me crois capable de ça ?
    — À un moment, j’avais pensé que c’était peut-être ton idée, nous prendre sur le fait et nous fusiller. Mais là, je ne pensais plus, je baisais la petite la plus parfaite qu’on puisse imaginer. Elle était tellement trempée que quand on a eu fini, j’avais le ventre et les cuisses tout gluants de mouille.
    — Et vous avez fini comment ?
    — Comment tu veux que ça finisse ? Elle a poussé son petit cri et j’ai tout balancé, bien au fond.
    — Comme elle avait demandé ? Tu n’as pas pensé à moi, qui n’aurais peut-être pas envie que tu me la cochonnes ?
    — Je n’ai pensé à rien, patron, juste à mon plaisir qui était immense.
    — Bon, c’est bien, c’est ce qu’il fallait. Antoine, si tu veux de l’argent, tu demandes, mais tu ne dois jamais en parler à personne, tu dois me le ...
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