1. Mutinerie au Congo, Chapitre 02


    Datte: 05/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... regardée toute gênée, mais un peu excitée. Il aurait pu l'entraîner dans un petit sentier et se retrouver seul avec elle, mais sa conscience morale l'avait retenu. Ce soir-là, il avait baisé Béatrice très intensément en pensant à Anne et à son petit corps de jeune fille. C'est vrai qu'elle ressemblait à Ann Blyth.
    
    Le silence était palpable dans la salle à manger. Tous sentaient que quelque chose de monstrueusement immoral aller se passer. Anne avait les yeux fixés sur son père, qui se laissa déshabiller par les soldats de son escorte après que le colonel lui eut ôté les menottes. Le colonel observait la scène pistolet au poing, au cas où.
    
    Anne se savait nue devant son père. Ça l'excitait follement dans l'état extrême qui était le sien; l'adrénaline effaçait sa fatigue pour l'instant. Elle se sentait toute honteuse que son père la voie faire la fellation aux soldats. Elle justifia son désir incestueux en construisant une nécessité de se faire pardonner.
    
    Quand Gilles fut nu devant elle, la jeune fille agenouillée le regarda, lui et son pénis, qu'elle voyait pour la première fois. Gilles sentit sa fille l'inviter du regard. Il entra dans le cercle des soldats et s'agenouilla près d'elle.
    
    « Papa... pardonne-moi... Je n'ai rien pu empêcher... Embrasse-moi et dis-moi que tu m'aimes encore... » murmura Anne, tout en larmes, d'une voix qui tonna dans le silence pesant.
    
    Gilles ne dit rien. Il succomba à ce désir longtemps refoulé. Il embrassa sa fille, non pas en ...
    ... père, mais en homme amoureux. La langue d'Anne trouva la sienne. Il sentit toute la différence entre deux femmes qui se ressemblaient : Béatrice au même âge ressemblait à Anne comme une sœur jumelle, mais Anne n'embrassait pas du tout comme Béatrice.
    
    Béatrice embrassait langoureusement sans vraiment jouer de la langue, mais Anne lui titillait la bouche de coups de langue secs et passionnés. La fille nue lui passa les bras autour du cou et ils s'embrassèrent longuement sous le regard aussi ravi qu'étonné des soldats, dont la plupart étaient en train de souper d'une collation rapide.
    
    « Allez, ma jolie, » lui ordonna le colonel Bobozo avec une tendresse paternelle, « allez, dis à ton père de s'étendre et monte à cheval sur lui. Fais-lui ce plaisir. La plupart des pères en rêvent sans se l'avouer quand ils ont une fille aussi jolie. »
    
    Obéissante, Anne dit à Gilles de s'étendre. Il lui obéit. Quand elle fut étendue, elle saisit son membre raide dans sa main et lui embrassa tendrement le gland, qu'elle lui lécha amoureusement. Elle se souvenait de ce moment, à la plage, où il lui avait posé la main sur la taille. Elle n'avait pas voulu se l'avouer, mais elle aurait accepté de faire l'amour avec lui, peut-être plus par curiosité qu'autre chose. Oui, il était beau, son père. Pour se justifier face à sa conscience, Anne se dit que faire l'amour avec son père valait mieux qu'être violée par une troupe de soudards.
    
    La plupart des hommes bandèrent bien fort quand ils virent la ...