1. Mutinerie au Congo, Chapitre 02


    Datte: 05/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... plein visage. Perdant la boussole, Béatrice laissa partir un long râle de jouissance juste avant que le Congolais lui lâche sa crème tropicale.
    
    Béatrice ignorait qu'elle venait de se faire violer en présence de son mari. En effet, le colonel Bobozo était parti de chez Martine et avait jugé bon d'aller chercher le capitaine-commandant dans sa cellule. Gilles LeBlanc fut ainsi mené sous bonne escorte jusque chez lui, pour qu'il voie par lui-même à quel point les hommes du régiment aimaient ses filles.
    
    Le capitaine-commandant Gilles LeBlanc, menottes aux poings, arriva dans le salon juste à temps pour voir sa femme, nue, râler sa jouissance sous l'étreinte d'un sergent congolais qu'il connaissait de longue date.
    
    Béatrice se mit à sangloter comme une âme perdue quand elle vit son mari, habillé en civil et magnifique dans son complet veston. Elle fut bientôt violée par un groupe de trois soldats.
    
    On passa dans la cuisine. Le capitaine-commandant Gilles LeBlanc vit le spectacle qu'il s'attendait trop bien à trouver : Anne, déshonorée à jamais.
    
    Les salauds! Ils l'avaient soumise à un barrage de viols répétés; ses yeux experts prirent note de la grosse flaque de sperme séché qui gisait en bordure de la table, qu'on avait tassée contre le mur pour faire plus de place au festival de fellations forcées, dont Anne était l'étoile obligée.
    
    « Espèce de sale fumier! Je vais t'étriper! » cria Gilles en tentant d'attaquer le colonel malgré ses menottes et les soldats ...
    ... l'escortant. Ceux-ci furent la cause suffisante qui empêcha Gilles de tuer le colonel Bobozo de ses mains, ce qu'il eût pu faire sans trop de problème dans son état actuel de rage alimentée par un paroxysme d'adrénaline.
    
    Mais son regard était irrésistiblement attiré par le corps agenouillé de sa fille, toute nue, qui avait la bouche toute pleine d'un gros pénis bandé et se trouvait cernée par des dizaines de bites congolaises. Il assista au moment où la bite, bien chocolatée, sortit de sa bouche et arrosa généreusement ses seins d'un jet crémeux et bien tropical. Gilles sentit une érection incontrôlable se former sous son pantalon. Il avait toujours un peu trop aimé Anne.
    
    Le colonel Bobozo, amusé, remarqua le brusque changement d'état chez son ancien officier. Il lui ordonna d'aller vers sa fille et de s'accoupler avec elle, afin qu'on voie que les Belges étaient tous de gros cochons immoraux.
    
    Gilles protesta haut et fort, mais son regard allait toujours vers sa fille nue, qui le regardait tout droit dans les yeux à présent. Son corps le poussait à obéir; il osa se l'avouer, noyé dans l'opprobre du moment : il avait très envie d'Anne. Le mois d'avant, en vacances à La Panne, il l'avait photographiée sur la plage dans son petit maillot de bain à l'ancienne -- qui était en fait un vieux maillot de Béatrice. Il s'était mis à fantasmer sur elle. Une fois, il lui avait même posé une main sur la taille, non pas une main paternelle, mais une main chargée de désir; elle l'avait ...