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Mutinerie au Congo, Chapitre 02
Datte: 05/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica
... autorisant quelques automobilistes à passer moyennant paiement en nature. Le centre-ville grouillait de soldats de la Force publique. À pied, en camion ou en jeep, ils patrouillaient les rues, interpellant tout passant d'apparence européenne qu'ils apercevaient en prétendant être à la recherche d'officiers belges. Par ailleurs, des mutins investirent deux des plus gros hôtels de la capitale. Là, on trouva prétexte pour brutaliser des ressortissants européens; ils violèrent même deux chanteuses et une actrice américaines bien connues, dont l'identité resta un secret d'État. Un touriste canadien-français prit même des photos de sa femme pendant que des soldats la forçaient à tour de rôle; tout le monde riait et la jeune épouse catholique passa deux heures inoubliables à se faire brasser et frotter les seins d'un orgasme à l'autre. Un bataillon de soldats était convaincu, ou s'était lui-même convaincu que le premier ministre Lumumba faisait venir un fort contingent de troupes soviétiques en vue de désarmer la Force publique. Le bataillon de mutins en colère prit d'assaut le grand hôtel et mit à sac les chambres et les suites où logeait la délégation soviétique, notamment l'ambassadeur de l'URSS et sa famille, qui avaient assisté aux célébrations entourant la déclaration de l'indépendance, prononcée huit jours plus tôt. Des femmes et filles russes furent sauvagement déshabillées et violées par de très nombreux mutins qui hurlaient leur colère mêlée d'une brutale ...
... joie hormonale. Le trop-plein de nègres en uniforme se déversa dans le reste de l'hôtel; on fit du porte-à-porte, et l'on dégota à peu près tout ce que l'hôtel avait d'épouses et de filles au joli minois et aux cuisses blanches. Ces touristes avaient vu les défilés de l'indépendance; maintenant c'était les mutins qui défilaient dans leur chambre pour leur montrer une autre façon de célébrer l'indépendance. La troupe s'agitait partout à Léopoldville et dans un nombre croissant de régions, à mesure que se répandait la rumeur au sujet des soldats soviétiques. On soupçonnait les civils belges de s'armer. Il s'ensuivit des incidents où des soldats de la Force publique vinrent frapper chez des Blancs; ils firent des perquisitions « légales » lors desquelles ils saisirent toute arme trouvée sur les lieux. Ce fut bien entendu l'occasion de nouveaux actes de violence contre des ressortissants belges. De nombreux réfugiés et rescapés de cette chasse aux Blancs prirent la route à travers tout le pays, direction l'aéroport ou la Rhodésie, pays limitrophe au sud. La plupart de ces Blancs en fuite, dont certains s'étaient armés jusqu'aux dents, passèrent la frontière sans problème. Certaines familles eurent moins de chance et se firent piéger dans quelque secteur contrôlé par des mutins, et l'on vit des barrages routiers devenir le théâtre de viols collectifs en plein jour. Telle épouse flamande fut violée au bord du chemin, en pleine brousse, devant ses grands-parents. Tel grand ...