1. Mutinerie au Congo, Chapitre 02


    Datte: 05/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... arriver le lendemain matin à Port Matadi, la porte d'entrée stratégique de la Côte atlantique, un tout petit goulot de territoire par lequel le Congo touchait l'océan.
    
    Des troubles et des violences ayant secoué la ville çà et là, la grande majorité des Blancs avaient déjà levé le camp, mais pour une raison inconnue, le contre-amiral qui commandait aux frégates était persuadé que de très nombreux ressortissants s'y trouvaient encore et attendaient d'être évacués. Il avait donc dépêché des navires de transport escortés par les deux frégates.
    
    On poussait les machines en avant toutes; les étraves fendaient les flots, soulevant l'écume bien haut, ce qui n'arrivait pas souvent à des navires belges. Sur la passerelle, le contre-amiral jubilait. « On va casser du nègre! » déclara-t-il au capitaine de frégate, qui le considérait d'un air dubitatif pendant que l'officier de quart gardait le cap.
    
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    Juliette dormit peu dans la nuit du samedi 9 juillet au dimanche. Les caresses et les baisers de Martine furent plus délicieux qu'elle aurait pensé, et elle aima beaucoup se faire tendrement caresser les seins par son ancienne prof de musique. Elle n'avait pas eu envie quant à elle de parcourir le corps de Martine, qui s'était vite mise nue, mais elle se laissa volontiers déshabiller et caresser. C'était doux de recevoir toute cette affection, mais elle avait surtout envie d'un homme avec sa bite de conquérant.
    
    Quand elle sentit ...
    ... la langue de Martine sur son clitoris, Juliette pensa intensément aux soldats congolais qui l'avaient admirée douze heures plus tôt. Elle s'imagina, traînée et déshabillée dans leur caserne, puis montée par chacun d'eux. Elle jouit très fort tandis que la bouche de Martine goûtait avec délice à ses sécrétions vaginales. Juliette ne se sentait pas prête à lui rendre la pareille; elle lécha tout de même les seins de Martine, plus par curiosité qu'envie. Bientôt, les deux jeunes femmes dormaient, nues et enlacées.
    
    Le dimanche 10 juillet fut une journée tranquille où Juliette s'adonna à la lecture, Virginie lui ayant prêté une édition des « Liaisons dangereuses » de Choderlos de Laclos. Juliette se plut à imaginer une version nègre du vicomte de Valmont. « Voilà qui scandaliserait le chevalier Danceny! » pensa-t-elle en souriant.
    
    Cette nuit-là, Juliette n'eut pas les caresses de son ancienne prof de musique. Fatiguée, Martine l'embrassa et s'endormit bientôt. Juliette passa la main sur le fessier nu de Martine. Ce contact ne l'excita guère; elle avait envie d'une grosse bite de nègre, qu'elle pourrait prendre dans sa bouche avant de se faire éperonner.
    
    Étendue sans dormir, dans le noir, elle pensa un peu à son père, qu'elle ne se sentait pas encore prête à aller voir, et bon sang, elle s'ennuyait déjà de sa sœur, mais bon, elle n'avait qu'à appeler chez elle de jour pour qu'Anne passe la voir, mais elle se ressouvint qu'Anne ne sortait plus; elle avait trop peur; elle ...
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