Mutinerie au Congo, Chapitre 02
Datte: 05/08/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byHBuff, Source: Literotica
... nouveau, et il leur fut interdit de remonter leur pantalon, ce qui les obligea à marcher par petits pas, comme des pingouins.
Le colonel donna ses ordres aux deux filles de bureau, dont le maquillage était détruit.
« Bon, les filles... C'était bien! C'était vraiment bien. Merci pour la bonne baise, rhabillez-vous en vitesse et allez vous refaire une beauté -- vos sacs à main sont juste là -- et prenez donc congé aujourd'hui; je vais vous écrire un billet. Pas un mot de tout ceci à personne, sinon ce sera une nouvelle punition, et cette fois vous serez toutes les deux enculées par une vingtaine d'hommes. Allez, ouste! Je vous ai assez vues! »
Une fois les filles en pleurs sorties sous escorte, les deux officiers captifs apprirent que leur calvaire n'était pas fini. Le colonel Bobozo lui annonça la nouvelle mesure disciplinaire.
« Quant à vous deux, moules à gaufres, vous avez essayé de vous échapper, et il faut que je fasse un exemple! Vous comprendrez que je n'ai pas le choix. Vos femmes et votre fille Laurence vous attendent au cachot. Elles vont bien; le médecin est passé les voir. Vous allez vous-mêmes les déshabiller de nouveau toutes les trois et les faire s'allonger par terre, et là, une compagnie entière viendra se masturber au-dessus d'elles. J'ai interdit qu'on les viole encore, mais foi de colonel Bobozo, elles vont recevoir une longue douche de sperme congolais, et vous allez y assister aux premières loges! » Ainsi fut fait. Le colonel savait qu'avant ...
... longtemps, tous les officiers blancs sauraient ce qui était arrivé aux capitaines Desjoncs et Van Laarens et à leurs femmes, et surtout, à Laurence Desjoncs. Les trois femmes belges, étendues toutes nues sur le sol de la cellule, virent arriver le grouillant défilement d'uniformes de la Force publique, et furent bientôt cernées de toutes parts par la multitude d'érections brun chocolat.
Elles reçurent un interminable déluge de sperme et finirent complètement recouvertes d'un manteau chaud et gluant, des pieds à la tête, qui peu après commença à sécher et durcir en croûtes friables, que les gardes, non sans rigoler, leur ordonnèrent de manger. Ah, que c'était bon de couvrir d'opprobre leurs femmes et leurs filles, et devant eux en plus! Les trois femmes belges n'oublièrent jamais cette âcre odeur de semence africaine, qui hanta leur mémoire olfactive tout le reste de leur vie.
Par cette mesure, le colonel voulait aussi savoir si ses ordres étaient bien obéis. On lui rapporta un unique cas de désobéissance : le sous-lieutenant Banza avait voulu savoir si Laurence était aussi étroite et serrée que Clothilde, et avait violé Laurence de nouveau.
« Ah, ça par exemple! Je n'aurais jamais cru ça, venant de lui! » tonna le colonel dans son bureau, dont le bois était encore tout imprégné du parfum de la secrétaire qu'on y avait violée à répétition.
Le sous-lieutenant Banza fut convoqué sur-le-champ au bureau du colonel, qui lui annonça que sa promotion au grade d'officier ...