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Qui m’a prise ? Le dénouement Fin.
Datte: 31/07/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Effrontée, Source: Hds
... bites, toutes dressées et durcies pour rendre hommage à ma féminité. Je contemple, je mate, subjuguée par la taille de chacune des bites qui me sont promises. Je m’accroupis pour mieux les voir. Je m’en saisis comme deux gâteries de sucre et commence lentement à les secouer en faisant jaillir le gland de leur prépuce à deux doigts de ma bouche. Je sens la mouille s’écouler de ma chatte en feu. Des ondes parcourent mon corps. Les deux hommes devant moi sont soumis à mes désirs. Ils savent l’équilibre précaire de ce moment magique où tout peut arriver. Personne ne parle. Mon chéri est resté sur le pas de la porte, interdit, meurtri. Il n’ose pas s’imposer. Je remarque qu’il est nu aussi sous la ceinture et qu’il tient sa bite en mains. Je lui souris car je l’aime et je n’aime pas le voir souffrir. Mais cela ne gâchera pas ma soirée. Il entre et prend place sur la chaise au pied du lit. La place du voyeur. Après avoir donné quelques coups de langue, balloté leurs couilles et englouti chaque sexe en respectant l’égalité des caresses, je me redresse et les entraîne vers le lit. Tous les deux ont compris ce que j’attendais d’eux. Qu’ils me prennent simultanément. Je m’allonge sur le dos entraînant René par la main et l’attire près de mon visage. Il aura la primauté de ma bouche. Son compagnon réalise que je lui réservais d’abord mon ventre. - Léchez moi Francis. Buvez ma liqueur. Vous pourrez me pénétrer ensuite. J’ai envie de vous. Envie de vous deux. Alors ...
... sans perdre un instant, il glisse sa tête entre mes cuisses et je sens sa langue laper les sécrétions qui s’échappent de ma vulve. Je sens la jouissance monter en moi. Sa langue joue avec mes lèvres, puis s’applique sur mon clitoris. Il sait y faire et à cet instant je pense à son épouse qu’il est en train de cocufier avec ma complicité. A mes côtés, Francis frotte son gland contre ma joue et le présente devant mes lèvres. Le méat laisse sourdre des gouttes de pré sperme. Avide, je recueille ce liquide d’un coup de langue avant d’engloutir entièrement, à m’en étouffer, la totalité du sexe. Je libère le mandrin de mes doigts pour le laisser pénétrer en gorge profonde. Ma main s’est en même temps glissée entre les cuisses de l’homme et je lui caresse les fesses avant de porter un doigt à l’entrée de son anus, lui rendant sa caresse. Je force le sphincter et introduis mon majeur dans la profondeur de ses entrailles. Je le sens se crisper, visiblement il n’est pas habitué à de tels traitements. Pas plus que moi d’ailleurs ! Mon autre main, posée sur le crâne de mon lécheur, exerce une pression pour l’encourager à aller plus loin, plus profond dans ma vulve. Tous ces excitants m’emmènent rapidement à la jouissance sexuelle. Mon orgasme est extrême. Pour crier j’abandonne le sexe qui encombrait ma bouche. René s’occupe de mes seins. Je me rends soudain compte que je tombe dans une sorte d’inconscience, la « petite mort ». Dans le brouillard poignant qui se dissipe ...