1. Qui m’a prise ? Le dénouement Fin.


    Datte: 31/07/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Effrontée, Source: Hds

    Quand je me réveille le lendemain matin, je suis seule dans notre lit. Mon chéri a préféré me laisser dormir. Pense-t-il déjà à ce soir ? Je l’en soupçonne. Cette pensée me dynamisme. Je saute dans la salle de bain me doucher.
    
    Après le petit déjeuner avalé, qu’il m’a préparé avec amour, je le sais, je prends les RDV qui s’imposent : esthéticienne et coiffeur. Ne rien laisser à la négligence : assurer pour assumer. Car déjà je sais que je vais m’abandonner à la luxure. Me prendra qui je veux. Et non pas qui il veut. Tant pis s’il se retrouve cocu, consentant ou non. Depuis hier j’ai la détermination de devenir maîtresse de ma sexualité. Ne plus subir la loi des mâles. Et cela n’engage en rien mon amour pour lui. Ces pensées me rendent joyeuse.
    
    Comme il n’est pas dupe des éventualités de l’après dîner, il a eu la prudence, associée à un certain culot, de prendre l’information sur la santé de nos invités. Il m’en fait confidence avec un petit mot que je découvre calé dans le tiroir de mes sous vêtements. Cette délicatesse me comble de bonheur : je vais pouvoir avec son accord abandonner toute protection tueuse de sensations. Pour la fécondation, j’ai déjà donné et le contraceptif me tient à l’abri d’une éventuelle grossesse. Mais cette démarche ne peut-elle pas conditionner l’état d’esprit de nos invités ?
    
    Je réfléchis : le jeune Francis est marié et fidèle, la question ne se pose pas pour lui. Mais René ? Cette pensée m’emmène à la conclusion que c’est lui le libertin ...
    ... à qui il m’a offerte sept ans plus tôt.
    
    La soirée se présente sous les meilleurs augures. Il faut pourtant admettre que bien des aléas peuvent encore advenir.
    
    Je vais consacrer ma journée à me préparer. Je me rends compte que c’est René qui occupe mes pensées, et c’est à lui que s’adressent mes gestes, mes mimiques. Je prends alors conscience que je suis déjà un peu amoureuse et cela m’inquiète. Je dois me ressaisir.
    
    Simplement vêtue d’un teeshirt fin et d’un pantalon sans sous vêtements, je me rends au RDV chez l’esthéticienne en début d’après midi. Je lui demande de soigner l’apparence de mon pubis et faire disparaître les poils inopportuns et inutiles dans certaines parties sensibles de mon corps.
    
    - Je voudrais un triangle parfait, aux poils cours soyeux. Je n’aime pas les sexes glabres. Des poils, oui, mais pas trop.
    
    - Vous avez raison, il n’y pas plus érotique que le dessin d’un pubis revêtu d’un fin duvet soigné.
    
    Cette jeune femme me fait un sourire complice et coquin quand je lui demande de laisser les lèvres de mon sexe apparaître parmi le fin duvet brun. Ses doigts qui glissent sur ma peau me donnent le frisson. Comme de rien parfois, ils flirtent avec mon intimité déclenchant une vague de liqueur d’amour accompagnée de gémissements que j’ai peine à masquer. La jeune femme en recueille une perle qu’elle porte à ses lèvres avec un sourire entendu. Je regrette en cet instant que l’institut est ouvert interdisant tout débordement. En me raccompagnant ...
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