1. Qui m’a prise ? Le dénouement Fin.


    Datte: 31/07/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Effrontée, Source: Hds

    ... lentement, je comprends que Francis est couché sur moi et me pénètre violemment. Je le sens me travailler le ventre. Une deuxième onde de plaisir m’envahit. Je jouis encore plus fort avant d’atteindre une nouvelle fois un orgasme extrême.
    
    Quand j’ouvre les yeux je vois la bite énorme de René devant les yeux. Dans une pulsion incontrôlable je la gobe à nouveau sans réaliser qu’à quelques centimètres, Francis a son visage calé dans le creux de mon cou. Son bras droit passé derrière ma nuque me maintient contre lui alors que je l’enlace de mon bras gauche libre. Nos deux corps ne font qu’un. J’imagine alors cette image d’abandon que j’offre à mon époux et quel doit être son ressenti devant ce spectacle.
    
    J’aspire, je suce et je sens rapidement la colonne de chair se tendre, vibrer avant de recevoir au fond de la gorge plusieurs salves de sperme. Jamais je n’ai ressenti une telle quantité de liqueur mâle. C’est sans doutes la jouissance de son collègue qui provoque celle de Francis. Je sens l’intensité de plusieurs jets de foutre frapper les parois de ma vulve et me remplir.
    
    Pas d’imprudence cette fois. Contraception et santé vérifiée par Monsieur qui envisageait une telle soirée. Mais l’orgasme est au rendez-vous.
    
    Nous reprenons lentement nos esprits. Les deux hommes sont repus. René affiche sa satisfaction de mâle, Francis celle d’une culpabilité évidente. Moi, j’ai joui comme jamais et je n’ose pas regarder du côté de mon chéri.
    
    Cependant, il me manque un ...
    ... épisode : René ne m’a pas baisée. Impossible de savoir si c’est sa grosse queue qui m’a prise.
    
    Faute de pourvoir comparer sur le vif, j’interroge le suspect affichant un sourire doux mais sournois.
    
    - Dites-moi René vous avez évoqué une idée qui m’a interpellée tout à l’heure, comme quoi monsieur m’aurait déjà offerte. Comment savez-vous cela ?
    
    Visiblement ces paroles jettent un froid. René est déstabilisé mais bien moins que mon époux, qui s’est levé de la chaise qu’il n’a pas quittée et qui s’apprête à sortir hypocritement de la chambre.
    
    - Ah non, mon chéri. Tu ne vas pas fuir devant tes amis. Tu me dois la vérité.
    
    J’insiste et il finit de mauvaise grâce, rasséréné sans doutes par la mine déconfite de ses amis, par revenir et se lâcher.
    
    La tension est palpable dans la pièce. Les deux collaborateurs se consultent du regard et comprennent qu’il est temps pour eux de laisser la couple régler leur différent. Ils ont baisé, c’est l’essentiel pour ces deux mâles. Ils nous quittent discrètement sans manquer de me voler un dernier baiser et une caresse sur mes seins encore dénudés.
    
    Cela provoque à nouveau un frisson d’excitation et si…
    
    On se retrouve tous les deux sur le lit.
    
    - Alors, tu veux bien me dire cette vérité maintenant ? Lequel des deux m’a prise. René ? Francis ?
    
    Mon chéri est détendu. Visiblement se confesser ne l’angoisse plus tant que ça.
    
    Je n’ai plus besoin de le bousculer pour le faire parler. La séance de cul a eu raison de son obstination ...