Qui m’a prise ? Le dénouement Fin.
Datte: 31/07/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Effrontée, Source: Hds
... écartent l’élastique de ma culotte et pétrissent une puis l’autre fesse avant d’envahir le sillon qui conduit à mes intimités. Ils effleurent le petit œillet s’y attardent pour appliquer une légère pression affirmant de vouloir s’y introduire. Je me crispe en signe de refus.
Devant moi, Francis est cramoisi, il déboucle la ceinture de mon short qui sans aucune autre forme de procès termine sa chute sur mes chaussures. Aussitôt il rejoint les doigts de son complice dans ma petite culotte qui ne protège plus rien. Les deux mains se retrouvent au même endroit combattant pour s’approprier mon nid d’amour. Cette lutte me fait sourire alors que ma fine culotte est quasiment arrachée.
La sensation dans ma poitrine ne trompe pas. Ce creux dans l’estomac, ces palpitations, je les connais bien. Ils sont signe que mon corps prend de la hauteur vers la jouissance, vers le plaisir contre lequel bientôt je ne pourrais plus lutter. Ces doigts qui me fouillent me poussent à l’abandon.
- J’ai envie d’être prise, là maintenant. Je ne peux plus attendre. Baisez moi, vite.
- Ne t’inquiète pas ma belle, ça ne devrait tarder, me répond René.
Je fais l’effort de me dégager de leurs étreintes pour les entraîner vers la chambre.
Mon chéri qui vient de comprendre, se dresse devant moi ;
- Bon, c’est fini Chantal. Nos amis se sont bien amusés et toi aussi. Alors maintenant stop !
Le ton de sa voix se veut ferme et sans appel. Mais il se trompe. J’ai le feu au cul et j’ai ...
... besoin qu’on éteigne cet incendie qui me ravage.
- S’il te plait, laisse nous passer. Tu peux venir regarder, si tu veux, comme tu aimes, mais tu ne m’empêcheras pas d’aller au bout de ma quête. Laisse nous passer.
Et René de lancer la phrase qui tue :
- Mais voyons, ce n’est pas la première fois que tu offres Chantal non ?
Serait-ce enfin la preuve de cette interrogation qui me préoccupe ? René serait-il mon héros ?
Mes deux amants d’un soir sont un instant circonspects. Ils ne comprennent pas ce revirement de mon époux. Il me faut vite réagir.
- Venez mes amis, je vous veux tous les deux en même temps et pourquoi pas en moi, par chacun de mes orifices.
Ce ne peut pas être moi qui prononce ces paroles. Elles me ressemblent si peu. Et pourtant…
Sur le chemin de la chambre, je suis nue, délaissée de ma culotte et de mon soutien gorge. J’ai juste conservé mes chaussures qui tombent en franchissant la porte de notre chambre.
La première chose à laquelle je m’attarde, c’est de déshabiller les deux hommes. Très vite, ils se retrouvent en slip debout devant moi. Francis avec un corps sans défaut, René bedonnant. Je tremble un peu quand dans un mouvement parfaitement symétrique mes mains viennent caresser les bosses par dessus le tissu des sous vêtements. Je caresse, je palpe, j’estime le volume. Puis, le regard braqué sur mes mains, je glisse un doigt dans l’élastique de chacun des slips, écarte le tissu pour faire jaillir comme un diablotin de sa boite, les ...