The Last Waltz Ch. 02 - Histoires de Sexe

The Last Waltz Ch. 02

... monter et je jouis dans une violence et une souffrance inconnues. Il me faut plusieurs minutes pour reprendre mes esprits, et La remercier. Je suis au comble du bonheur. Tout cela pour cela! Je resigne sans aucun doute.

« Tu m'as fait passer trois jours de folie. J'ai failli m'y perdre je dois te l'avouer. Isabelle est vraiment folle et c'était chouette de la voir s'exprimer sur toi. Heureusement je sens une affection grandissante pour toi, ce qui a sauvé tes oreilles qu'Isabelle voulait te couper. Je veux te marquer, pas t'estropier. Quoique pour tes couilles, n'espère pas pouvoir t'en resservir. Je suis même surprise que tu aies eu du sperme à me remplir. Allonge-toi, que je me vide dans ta bouche et qu'à ton tour tu me fasses jouir de ta langue, de ton souffle coupé, de ta dévotion totale. »

Ses orgasmes m'ont comblé, lLa voir sur moi, sentir Son poids, c'est un tel bonheur. Quand enfin Elle est sevrée, Elle me fait mettre à genoux.

« Bien maintenant tu m'écoutes et tu ne dis plus un mot.

- Comme je te disais je pensais que 5 000 euros pour trois jours c'était bien payé. Au vu de ce qui s'est passé, c'est toi qui a fait une belle affaire. Mais moi une jolie découverte. Enfin plusieurs. Passons. Voici comment je vois les choses. A toi de me dire si tu es ok ou pas. Si tu ne l'es pas, pas de souci et tu ne me reverras plus jamais. Tu as un ...

... mois pour te faire une idée, qui sera cette fois définitive.

- Si dans un mois tu décides à t'engager comme esclave sexuel et de souffrance, tu m'appartiendras totalement. Je ferais de ta vie une enfer permanent sans aucune perspective. Je te prendrai tout ce que tu as, et ce dès les premiers mois. Tu n'auras plus rien du tout, même ta maison sur Paris.

- J'ai besoin de ton argent, car du coup j'ai envie de m'acheter une sorte de manoir près de chez moi, j'y serai magnifiquement, et il me faut ton argent. Et surtout l'assurance que je puisse vivre très luxueusement jusqu'à la fin de mes jours.

- En retour mon seul engagement est de t'exploiter, te détruire et te supplicier. Mais tu dois savoir que le jour où je serai fatigué, je te mets à la rue, dans rien, juste une tenue décente. Cela peut arriver dans un an, dix ans, ou peut être deux mois.

- C'est quelque chose sur laquelle tu n'as aucune prise, puisque de toute façon tu ne seras là que pour souffrir. Mais sans doute me servir aussi.

Voilà les termes du contrat, tellement déséquilibré. Je ne puis réfléchir, et de toute façon je n'ai rien à dire. Déesse se caresse une dernière fois, c'est vrai qu'elle a besoin de jouir plus de 10 fois par jour, c'est une source de désir et d'excitation folle.

Lorsque la porte se ferme, je m'endors dans même bouger, me sentant encore plus seul qu'avant.