The Last Waltz Ch. 02
Datte: 29/07/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... plutôt n'espérais plus? Mon crâne rasé est parcouru de cutting sanguinolant, formant une sorte de quadrillage. Isabelle a beaucoup aimé me couper ainsi à la lame de rasoir. Mes yeux sont creusés et épouvantable, je n'ai pas vraiment dormi depuis trois jours. J'aurais aimé me raser mais impossible avec les branding que Déesse m'a appliqué sur les joues et les narines. Ses initiales profondément incrustées et qui resteront sans aucun doute visible puisqu'elles font 1 cm de large sur les joues et ont été longuement creusés. Avec le cadenas qui pend de mon nez, et l'inscription ESCLAVE en rouge carmin en tatouage sur sur mon front, je sors tout droit d'un film de science-fiction. C'est vrai que Déesse a réalisé certaines choses qu'Elle m'avait prédite. Et surtout beaucoup d'autres.
Mais quelle idée m'a pris? Me voici après trois jours définitivement marqué et dans une posture vraiment compliquée. Sans parler de mon cul qui à mon sens est totalement détruit. A l'instar de mes couilles qui ont permis à Isabelle de vivre et d'expulser toute sa rage, et pas qu'une seule fois. Elles sont noires, de la taille d'une balle de tennis et en harmonie avec mon sexe qui ne ressemble plus à rien. Je voulais aller trop loin, c'est gagné. Pas tout à fait quand même. Je le sais bien, je n'ai pas atteint mon but et je savais qu'en trois jours c'était impossible.
L'eau chaude brûle tout mon corps, il faut du temps que la sensation s'apaise. Pas de cheveux à nettoyer, et hors de question de ...
... toucher une quelconque partie de mon corps. Ce n'est qu'une plaie sachant que je n'ai pas arrêté d'être battu, puis d'être coupé ensuite pour faire couler mon sang. Déesse est perverse mais Maîtresse Isabelle ne connaît aucune limite.
Lorsqu'enfin je reviens à 4 pattes dans ce qui était ma chambre, Déesse est allongée sur le lit. Elle m'autorise à Lui parler et à La regarder. Je lève ma tête stupéfait de la voir nue ou presque, juste couverte d'une courte nuisette blanche, absolument magnifique. Son corps est musclé, sa peau douce et satinée, son ventre plat comme la main et ses seins... Tendres, accueillants, mon regard reste fasciné dessus. Je suis profondément émerveillé. Déesse se redresse et me fait signe de prendre place à Ses côtés. Elle saisit ma tête et la pose entre Ses seins, et me commande de me laisser aller. Sans que je ne comprenne pourquoi, je me mets à pleurer toutes les larmes de mon corps. Mes mains caresse un sein, et je sens, sidéré, mon sexe prendre vie. Dans des souffrances indicibles, mais j'ai terriblement envie de Déesse.
Elle prend ma tête, m'embrasse, me caresse doucement, fait quelques allers et retours sur mon sexe si douloureux, puis écarte les jambes et me guide en Elle. Je La regarde avec adoration, cela La fait rire, et je me glisse en Elle dans un bonheur ineffable. Je suis concentré sur Son plaisir, mais c'est le mien qu'Elle veut. Elle tire mes cadenas de tétons, fortement mais sans violence. Comme mécaniquement, je sens mon plaisir ...