1. The Last Waltz Ch. 02


    Datte: 29/07/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    Je sens la porte qui se ferme, je reste seul dans mes agonies sans fin. Je ne pense à rien du tout, juste à survivre. Je me laisserais bien aller, mais je crois que mes souffrances seraient encore pires. Comment peut Elle me faire autant souffrir ainsi. Ce n'est pas cela que je voulais, c'est bien trop terrible, personne ne peut supporter. Elle m'avait bien dit que je regretterai. Elle avait raison. Je dois aller au bout de ces trois jours et après basta. Cela m'aura coûté un bras, mais au moins je sais.
    
    Je suis un zombie, je ne sens même pas Sa présence à mes côtés. Est-ce que je suis endormi tout en marchant? Cela me semble plausible. Je reviens à la réalité avec plusieurs coups de badines assénés sur mon pauvre sexe déjà blessé, m'arrachant des cris étouffés dans mon bâillon. Chaque coup tire durement sur mon prépuce déjà mis à mal. Je prends conscience de toutes ces douleurs, avec mes pieds en plus qui me brûlent. Je ne sens plus le bas de mon corps, je me demande si le plug n'a pas coupé la circulation et que mon cul va se nécroser. A ce stade la seule chose qui m'importe c'est de m'allonger et dormir. Ce n'est hélas pas le programme.
    
    Déesse est ravie de son cadeau, elle a sillonné Paris vide en ce week-end de vacances, et me dit avoir pris en retour un petit cadeau pour moi. Deux cadenas, qui ont la particularité d'être en acier chirurgical. Elle me dit avoir longuement hésité, mais que finalement Elle a pensé que les 4 mm d'épaisseur m'iraient mieux que les 3.2! ...
    ... Elle va me percer directement avec du 4 mm? J'aurais du me douter que mes tétons préservés jusqu'à maintenant étaient une anomalie, surtout qu'ils sont très gros, suite à de mauvais traitements répétés depuis des années. C'est ma zone érogène la plus forte, même avant mon sexe, c'est dire!
    
    Enfin le tapis s'arrête. Je suis hébété de douleur. Mes mains restent accrochées au plafond, mais le bâillon m'est retiré. Non sans mal, je hurle de souffrance, je crains tellement que ma mâchoire se décroche. Heureusement ce n'est pas le cas, mais je sanglote de souffrance. Je n'arrive pas du tout à fermer la bouche, la position sans le bâillon me semble toute aussi douloureuse, c'est étrange.
    
    Le nœud de mon prépuce est enlevé, tout comme les poids horribles sur mes couilles. La sensation d'allègement est dingue, je suis presque euphorique. J'en oublie le monstre en moi qui lui ne semble pas devoir sortir. Mais déjà j'arrive à respirer. Je pends par les mains, je n'en peux tout simplement plus. J'apprends qu'Elle a décidé de me percer là, comme cela, dans cette position. Que puis-je dire? Rien car je ne peux pas parler. Et rien car Elle m'installe à la base du sexe un collier à pointe muni d'un boîtier par-dessus. Les pointes ne sont pas très douloureuses. Jusqu'à ce qu'Elle appuie sur une télécommande et je reçois un courant électrique dans tout le sexe. Je hurle, la brûlure est terrible, mes jambes ne me soutiennent plus. C'était la fréquence basse! Elle peut ainsi me torturer et ...
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