The Last Waltz Ch. 02 - Histoires de Sexe

The Last Waltz Ch. 02

... tellement humiliant!²

Je découvre halluciné la couche énorme que porte sa soumise. Déesse me la présente comme étant Isabelle, et qu'Elles vont toutes les deux s'occuper de moi. Isabelle enlève sa couche qui est gonflée d'urine et maculée de ses crottes humides. Sur l'ordre de Déesse, elle me colle toute la couche sur la tête et la scotche pour qu'elle ne bouge pas. J'ai le visage rempli de sa merde, et je peine à respirer. Déesse me donne l'ordre de nettoyer la couche qu'Elle veut sans aucune trace. Je suis épuisé, je suis dans une position tellement inconfortable, attaché à genoux sur la table du salon, les anneaux des tétons étirés vers le bas. Je pleure silencieusement dans ma couche, tandis qu'Isabelle va prendre une douche pour se nettoyer. Je sens la main de Déesse prendre mon sexe et mes couilles pour bien les tirer vers l'arrière, les dégager. Je frémis de désespoir. Cette fois c'est la fin, je ne vais pas survivre à cette barbarie.

J'entends les deux femmes se caresser et se faire jouir pendant des heures. Déesse indique à sa soumise qu'elle jouera demain avec moi, là j'ai ma position pour la nuit! Elle vient vérifier que la couche est propre et semble satisfaite. Elle me sourit comme jamais, et me dit qu'Elle avait un troisième cadeau pour moi et voulait que ce soit Isabelle qui me l'offre. Je découvre un troisième cadenas, et je continue de sangloter. Déesse tire mes cheveux très fort vers l'arrière. Isabelle prend l'aiguille et sans hésiter traverse ma ...

... cloison nasale d'un seul coup. Les larmes sont incontrôlables et déjà le cadenas se referme sur mon nez ainsi annelé. Déesse attache une fine cordelette au cadenas et tire celui-ci en arrière pour m'obliger à baisser la tête au maximum. Je ne peux plus bouger un millimètre et je ne réagis même pas quand les deux femmes montent et me laissent là pour la nuit. J'ai maintenant très peur des clous bien entendu, mais aussi de ce corps métallique en moi qui pourrait ne pas ressortir. Est-ce vraiment possible. Jamais je ne me suis senti si seul et désespéré. Je voudrais pleurer mais je n'en ai plus la force. Je sens mon esprit sombrer.

« Vas prendre une bonne douche chaude et reviens vers moi dans ma chambre. »

Déesse a clôturé les 3 jours de supplice il y a quelques minutes, je suis libre de toutes entraves ou presque. Les cadenas sont bien en place, comme toutes mes marques. Je ne sais même pas si je suis soulagé, en tout cas d'avoir le cul vidé, c'est certain. Il a fallu plus d'une heure à Maîtresse Isabelle pour pouvoir le lubrifier pour le retirer sans tout arracher. La sensation a été indescriptible de le sentir glisser hors de moi, comme si elle m'ôtait un os. Ou plutôt ma colonne vertébrale. Je me sens terriblement nu et à vrai dire complètement perdu. La perspective de cette douche chaude me paraît un mirage.

Dans la salle de bain je mets quelques secondes avant de lever un regard sur mon image. Terrifiante comme je le craignais. N'est-ce pas ce que j'attendais? Ou ...