1. Chapitre V – Pâtes, sexe et Rock’n Roll


    Datte: 27/07/2024, Catégories: fh, hotel, amour, Humour aventure, fantastiqu, fantastiq, Auteur: Iovan, Source: Revebebe

    ... de temps à autre un « Ooh… oui ! », langoureux.
    
    J’avais entrepris de déboutonner sa robe, alternant avec des caresses qui se faisaient plus précises et je me retrouvai bientôt devant sa splendide nudité, sertie dans l’écrin écarlate de la petite robe ouverte.
    
    Subjugué par tant de beauté, je laissai mes mains errer sur ses courbes, lisses, abîmes de douceur, où mon regard se noyait, émerveillé, éperdu de beauté. Le sourire ineffable qui entrouvrait ses lèvres sur la nacre de ses dents, ses mains crispées sur les pans de sa robe ouverte me disaient son désir tendu vers la caresse et l’abandon, et me submergeait d’émotion.Oh ! Ma garce, ma très belle, ma tendre, ma merveilleuse petite perverse !
    
    Mes mains effleurant la peau satinée de ses cuisses remontaient, doucement, vers son trésor soyeux que je devinais ruisselant sous la fragile barrière de dentelle ivoire. Surtout ne rien précipiter…Attends… ! Attends… !!
    
    Insensiblement, avec de longs soupirs et de petits gémissements, elle s’offrait à la caresse désirée, écartant insensiblement ses divines cuisses, s’enfonçant dans le sofa dans un abandon d’une délicieuse indécence. Tout en elle suppliait…
    
    Impatient, je m’efforçais de différer le moment que ma belle appelait de tout son corps… et déposai de légers baisers sur ses cuisses, faisant crisser ses bas, les léchant même, laissant mon souffle caresser sa peau. Sa respiration se désordonnait, elle s’était mise à haleter…Attendre ! Pas maintenant… ! Pas encore ...
    ... !
    
    Je passai lentement de ses cuisses à son ventre, prenant soin de ne pas seulement effleurer son clitoris. Puis, glissant mes mains sous ses fesses, j’approchai ma bouche du précieux bourgeon, lui faisant sentir mon souffle à travers la petite pièce de lingerie que je léchai d’un long coup de langue, prenant soin de ne pas l’appuyer.
    
    Alors, tout le corps de mon aimée se mit à trembler dans mes mains.Encore… encore ! Attendre…encore.
    
    Mes caresses se muaient en griffades, striant sa peau de soie la faisant tressaillir, et gémir, attisant ma jouissance…Non… ! Pas encore ! Attends encore… !
    
    J’embrassai le grain satiné de sa peau, en haut des cuisses, la picorai de baisers, alternant avec des morsures que je faisais tendres et posai enfin mes lèvres, dans un long baiser sur sa jolie petite motte que dissimulait à peine l’affriolante et minuscule pièce de lingerie…Pas encore… !
    
    Carla se tendit dans un râle, poussant son bassin en avant et renversant la tête, aspirant l’air entre ses dents serrées, saisissant ma nuque entre ses mains, écrasant ma bouche sur son sexe pour en goûter encore la caresse… Le joli triangle de dentelle était trempé de sa cyprine dont je me délectai en imprégnai mes lèvres et ma langue, propulsé à des summums de jouissance.
    
    Je baissai, enfin, le petit cache-sexe, dévoilant à mon regard extasié les plis délicats du joli coquillage, humide de désir.
    
    Avec lenteur, j’approchai ma langue du petit bourgeon incandescent, saillant des replis nacrés, ...
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