Chapitre V – Pâtes, sexe et Rock’n Roll
Datte: 27/07/2024,
Catégories:
fh,
hotel,
amour,
Humour
aventure,
fantastiqu,
fantastiq,
Auteur: Iovan, Source: Revebebe
... première heure, je l’appellerai… C’est un bourreau de travail, il commence sa journée avec le jour, ainsi il sera facile de vous rencontrer.
Rendez-vous fut pris pour le lendemain et chacun prit congé de nos charmants vieux hôtes que nous laissâmes se reposer, ils l’avaient bien mérité.
Notre petite bande se sépara devant chez la Nonna, et embrassant Zio et Zia et les cousins, chacun repartit vers ses pénates. Béatrice et Simona prenant le même chemin…
Je me retrouvai enfin seul avec ma merveilleuse petite vicieuse… Nous rentrâmes au « Savona ».
Je la laissai batailler avec les clés, l’embrassant dans le cou… et elle riait, du plus joli rire qu’il m’ait jamais été donné d’entendre.
Nous entrâmes et, la prenant par la taille, je la fis s’installer dans le joli sofa qui faisait face à la fenêtre. Pendant un instant… le monde s’arrêta de tourner… Arrêt sur image… je restai figé en contemplation, penché sur le sublime visage. C’était une évidence, Carla venait d’ailleurs… !
Il me fallait me reprendre… Je m’arrachai à la contemplation de ma divine maîtresse et me dirigeai vers le bar, m’emparai de la bouteille de vermouth et en versai une généreuse dose que j’agrémentai d’un trait de Fernet-Branca et de quelques glaçons, je lui tendis le verre et dans une jolie roucoulade, elle s’amusa, une fois encore, de le voir comme suspendu dans l’espace avant de glisser vers elle.
— Tu ne m’accompagnes pas… ?
— Je vais faire beaucoup mieux que t’accompagner, ma ...
... merveilleuse petite salope… je vais t’offrir un cocktail de ma composition des plus érotiques… tu ne pourras plus te passer de ton barman favori…
— Mmh ! Voyons…
Déjà, je m’étais agenouillé à ses pieds et posai une main sur son genou.
— Ooh… ! Ça… ! Oui !
Je caressai légèrement ses jambes à travers le tissu de sa jolie petite robe et effleurai son ventre, frôlai ses seins, et touchai sa joue, sa bouche du dos de mon index. Elle avait renversé la tête en arrière et les yeux fermés souriait, lumineuse. Je m’étais agenouillé, face à elle, et caressai de mes deux mains le visage adoré. Je ne me lassais pas d’en admirer la perfection.
Tout en la caressant, je commençai à lui murmurer des mots tendres et crus, mouillés d’acide, lui répétant à l’envi quelle délicieuse petite salope elle était, lui racontant mon désir de sa peau, de son con mignon, de son arrogant petit cul, de son armille nacrée, lui demandant vicieusement si elle m’autoriserait à y poser ma bouche et l’adorer de mes baisers les plus lubriques…
Par mes paroles aussi je voulais fouetter en elle la montée du désir. Aussi, quel ne fut pas mon plaisir quand je l’entendis dans un souffle :
— Ooh… ! Continue… Encore… dis, encore !
Alors, je laissai libre cours à ma parole, me libérant totalement et célébrant dans un hymne lubrique et enflammé le désir fou qu’elle déchaînait en moi.
Carla semblait bercée, les yeux clos, elle approuvait à petits hochements de tête, tout en caressant mes cheveux, murmurant ...