1. La pointe espagnole


    Datte: 22/07/2024, Catégories: fff, ffh, fplusag, frousses, Collègues / Travail groscul, hépilé, fépilée, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, fdanus, journal, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    ... ce qui ne lui demanda pas un effort particulier compte tenu de ce qu’elle portait. Elle enleva le haut, découvrant de tout petits seins. Mon jugement du matin était bon, le soutien-gorge ne servait qu’à donner un semblant de poitrine. Les aréoles, petites, étaient plus brunes que je ne l’aurais pensé, les tétons très ronds bien dardés. La jupe s’envola littéralement. J’eus le temps, avant qu’elle ne le retire prestement, de voir un petit slip noir serti de dentelle duquel dépassait sur les côtés et au-dessus une luxuriante toison rousse. Elle avait des poils longs et touffus qui semblaient aussi très soyeux. La fente était incomplètement dissimulée sous cette brousse rousse, car les poils étaient moins fournis sur les lèvres. Elle était toute fine ce qui accentuait l’impression de volume de sa pilosité. Je lui ai donné le tube de crème qu’elle vida quasiment tellement elle s’en enduisit. Elle me tendit le tube pour que je fasse les épaules et le dos. Je descendis jusqu’aux petites fesses sur lesquelles j’appliquais une bonne couche, ce qui nécessita de multiples passages insistants de mes mains. Anna m’avait lancé quelques regards moqueurs auxquels j’avais répondu par un haussement d’épaules.
    
    Je dois avouer que je n’étais pas totalement insensible à cette peau très douce et lisse que je massais avec soin. J’avais les mains enduites de crème huileuse.
    
    — Je vais me laver les mains, annonçai-je à la cantonade.
    — Moi aussi, je vous accompagne.
    
    Anna me décocha un clin ...
    ... d’œil appuyé auquel je répondis par un même haussement d’épaules un peu hypocrite malgré tout, car aller au bord de l’eau avec Chloé ne me déplaisait pas du tout. La marée descendante nous obligea à marcher un peu plus loin. Chloé avançait devant moi. Parfois elle semblait esquisser quelques pas de danse, ses petites fesses s’agitaient. Elle se retourna, marchant à reculons elle me gratifia d’un grand sourire. En arrivant au bord de l’eau, elle se pencha pour frotter ses mains dans le sable et l’eau pour éliminer toute la graisse du baume. Mince comme elle était, j’avais une vue imprenable sur son derrière qui ne dissimulait rien de tous ses orifices intimes.
    
    J’avais une vision complète sur sa chatte et aussi sur son petit trou tout rond et tout plissé. Rien n’est plus intime que ce petit creux qui s’offre. J’eus un vrai coup de chaud, je sentis mon cœur s’emballer dans le même temps que l’humidité gagnait ma chatte et que mon clito sortait de son abri.
    
    J’étais en train de « bander » pour une gamine plus jeune que ma fille. Une pensée malsaine me gagna justement à cause de ça, la honte de regarder avec envie une jeune femme qui ressemblait à ma fille qui était rousse également et qui, en plus, portait le même prénom. J’essayais de chasser cette image.
    
    — Vous venez vous baigner ?
    
    Pour moi, la question ne se posait toujours pas, compte tenu de la température de l’eau. Une autre voix me posa la même question, c’était Béatrice. Je me retournai, elle était vraiment ...
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