1. La pointe espagnole


    Datte: 22/07/2024, Catégories: fff, ffh, fplusag, frousses, Collègues / Travail groscul, hépilé, fépilée, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, fdanus, journal, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    Marianne et Chloé arrivèrent rapidement après leur appel. Tout le monde se leva pour les accueillir. Je n’avais pas fait très attention, mais, debout, cela me frappa, Thomas était complètement épilé, pas un poil, nulle part. Je trouvais que c’était plutôt joli. Il avait un très beau sexe, à demi gonflé, mais je me rendis compte une fois encore que je n’éprouvais pas spécialement d’attirance ni de trouble. Je ne ressentais, à cet instant, aucun désir de pénétration. Par contre le corps de Béatrice m’attirait beaucoup plus. Les seins n’étaient pas aussi petits que je le pensais. La taille super fine rendait les hanches plus larges et elle avait des cuisses assez fines qui ne se touchaient pas, ce qui laissait le sexe constamment exposé. Elle avait une fente complètement épilée de laquelle dépassaient des petites lèvres très longues, encore plus développées que celle d’Anna. Anna avait capté mon regard et en me prenant par l’épaule me susurra :
    
    — J’ai bien l’impression que tu es tentée par ces petitespendouilleries entre ses cuisses.
    — Je connais déjà les tiennes.
    
    Anna m’embrassa et me pinçant doucement un téton. Était-ce une façon de marquer son territoire ? Béa semblant être sensible, elle, à mes grosses fesses, j’avais cru remarquer un certain nombre de regards vers mes cuisses. Sans provocation, mais avec le délicieux plaisir interdit de l’exhibition, je me penchai pour ramasser ma serviette sans plier les genoux. Je savais que ...
    ... j’offrais à son regard une vue parfaite sur mes grosses fesses et aussi de ma vulve que je sentais humide. Anna insista comme si elle voulait que les choses aillent plus loin et, toujours, comme si elle me confiait un secret en éclatant de rire.
    
    — Je peux te dire qu’elle mate ton gros cul avec des yeux qui lui sortent de la tête.
    
    Je fis semblant de ne rien entendre et surtout de ne rien comprendre. Je m’intéressais plus à Marianne et surtout à Chloé. Elle s’était changée, portait un petit haut jaune genre polo trop court comme c’était la mode et qui lui laissait la moitié du ventre à l’air. Pour le bas, une jupette blanche plissée, genre ancienne joueuse de tennis. Marianne était déjà nue, Chloé traînait, presque hésitante. Marianne la secoua un peu brutalement.
    
    — Ben alors tu attends quoi ? Que le soleil se couche ?
    
    Anna vola à son secours :
    
    — Laisse-la, avec cette chaleur et sa peau, je comprends qu’elle hésite. Je ne crois pas qu’elle veuille se faire brûler. Maud va la tartiner de crème. On a une marque super protectrice.
    
    Je me retrouvai, sans rien avoir demandé, investie du soin de peau de Chloé. Marianne et Anna s’étaient mises à discuter avec Thomas et Béatrice comme si elles se désintéressaient du problème. Je crus entendre que Thomas parlait de l’abondante touffe noire de Marianne. Il est vrai que le peu de femmes que nous avions vues sur cette plage quasi déserte étaient toutes complètement lisses. Sans doute rassurée, Chloé se déshabilla rapidement, ...
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