1. La pointe espagnole


    Datte: 22/07/2024, Catégories: fff, ffh, fplusag, frousses, Collègues / Travail groscul, hépilé, fépilée, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, fdanus, journal, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    ... Et, plutôt que de nous offusquer, nous avons éclaté de rire, ce qui l’encouragea à poursuivre :
    
    — C’est l’Euro-million du voyeur aujourd’hui, trois culs exposés et dans l’ordre, un petit, un moyen et un gros. J’adore le cul des femmes, c’est ce qu’il y a de plus beau. Cette plage est un miracle, les trois formes les plus bandantes des culs réunis en une seule vision. Je viens presque tous les jours, ici on est tranquille, y a pas les mômes. Ceux qui viennent ici savent qu’ils peuvent s’exposer à des vicieux sympas comme moi. Et je n’ai pas pris mon appareil photo. Ma femme ne voudra jamais me croire.
    
    Béa lui demanda étonnée :
    
    — Vous racontez à votre femme que vous parcourez la plage pour voir les fesses des femmes et leur dire des grossièretés ?
    — Bien sûr. Pendant que je la baise, elle me demande si je préfère son cul à ceux que j’ai vus à la plage.
    — Et vous lui dites quoi ?
    — Je ne suis pas toujours honnête, dit-il dans un grand éclat de rire.
    
    Béa poussa plus loin l’interrogatoire.
    
    — Et lequel de nos culs vous préférez ?
    — Y a pas que la vue, y a le toucher pour en évaluer la texture, la souplesse, l’élasticité, la malléabilité, la compressibilité, bref, tout ce qu’il faut apprécier pour mériter un cul de femme.
    
    Cette grande tirade nous le rendit sympathique, un voyeur cultivé et avec un riche vocabulaire ça ne se rencontrait pas tous les jours.
    
    Nous nous étions retournées en lui exposant le côté face qui, étonnamment, ne semblait pas ...
    ... l’intéresser outre mesure.
    
    — En fait, vous voulez toucher nos culs ?
    — Je n’aurais rien contre
    — OK, d’accord, les filles ?
    
    Je dois dire que la situation ne m’était pas totalement familière. Chloé n’avait rien dit, seule Béatrice semblait trouver la proposition divertissante et acceptable. Mais, comme, qui ne dit mot consent, nous nous sommes retournées pour lui présenter nos postérieurs. Il commença dans l’ordre : du plus petit au plus gros. Lorsque vint mon tour, je me crispai un peu. Je savais qu’en me contractant ainsi j’exposais encore plus ma cellulite. Ses mains étaient douces, il n’y avait aucune vulgarité ni précipitation dans une délicate palpation. Il écarta doucement mes globes fessiers, je le laissai découvrir ainsi mon petit trou secret. Je sentis un doigt furtif parcourir ma raie, mais sans insistance. Ses caresses ne me laissaient pas indifférente, mais elles n’allèrent pas plus loin. Il continua à cajoler mes fesses en les effleurant, j’en avais des frissons. Béa constata simplement :
    
    — C’est sûr, il préfère les gros culs !
    — Plus c’est gros, plus j’aime ça ! Enfin, faut pas exagérer non plus. Oh, comme il est beau… on dirait un Courbet.
    
    Je le laissais continuer. Je ne sentais plus qu’une main. Sans le voir, je devinais qu’il devait probablement se caresser. Je glissai ma main sur mon sexe, mais il y avait trop de sable, ce n’était pas raisonnable. Je sentais son regard polarisé sur mes fesses, sa main qui pétrissait ma chair. Les filles ne disaient plus ...
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