1. Fin de galère ?


    Datte: 20/07/2024, Catégories: fh, Collègues / Travail caresses, Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... vont comprendre ça, Sapière et Miclon, je ne donne pas cher de mon contrat, surtout dans les mêmes conditions. Ils peuvent me remplacer par un petit jeune sortant d’école de commerce à trois mille par mois et ciao Rezzin. C’est la loi du marché. Quels projets veux-tu que je fasse dans ces conditions ? J’épargne pour les mauvais jours à venir, c’est tout ce que je peux faire.
    — Tu crois vraiment ? Mais… leur idée est bonne, ça marche bien, elle pourrait s’appliquer ailleurs, sur tout le territoire…
    — C’est cela, oui. Et moi je déménagerai tous les deux ans, une fois le boulot fait, pour remonter la même chose ailleurs ? Là, on ne se verrait plus du tout.
    — Tu me glaces le sang. Je passe de follement heureuse à follement inquiète… Mais tout cela ne nous empêche pas de nous aimer ?
    — Non, il va falloir que je trouve autre chose de plus stable. Je pense que ça va se débloquer avec le procès Granradin et sa perte d’influence. Mais je me prépare à une nouvelle période chaotique. Maintenant, que ça ne t’empêche pas d’en parler à ton fils. Il est en âge de comprendre et ça ne devrait pas le perturber. Et puis ça te permettra de t’échapper un peu plus souvent sans lui mentir.
    — Oui, ça, c’est très important pour moi. Qu’il sache que sa mère ne lui a jamais menti. Ça me permettrait de t’inviter aussi de temps en temps à la maison, ou de venir te voir avec lui, juste pour passer un peu plus de temps ensemble, même si on ne se saute pas dessus comme des bêtes. Oh ! Il faut que je te ...
    ... raconte. Je suis allée garder les vaches, bien sûr. Et un soir, je suis rentrée avec elles, mais j’avais perdu le chien. Il est con ce chien ! Je suis retourné le chercher, j’ai fini par le trouver. Il avait rencontré une copine et ils s’en donnaient à cœur joie ! Ça m’a fichue en rogne, moi qui avais tellement envie de toi. Et puis les chiens, tu sais, ça prend un temps fou, ça reste collés un bon moment. Alors je suis allée chercher un seau d’eau glacée au puits et splasch ! Rincé le clébard. Eh bien je me suis masturbée comme une folle la moitié de la nuit.
    — Il fallait m’envoyer un texto, on se serait masturbé ensemble.
    — Ah oui ! J’y ai pas pensé… Dommage ! Ce que je t’aime… On rentre dans notre palace ? Je crois qu’il va pleuvoir et j’ai soudain très envie de toi.
    
    Pour pleuvoir, il pleut ! Un vrai orage de quinze août avec de splendides éclairs sur la mer. Ils font l’amour une bonne partie de la nuit, éclairés comme par le stroboscope d’une boîte de nuit. Peu importent les freins et réticences qu’a soulevés Jérôme, il l’aime aussi et c’est ça l’essentiel pour Sandra. Elle passe la dernière journée normande collée à lui, pendue à son bras, arrêtant fréquemment leurs promenades pour un petit bécot, même rapide. Son bonheur semble sans limites. Au retour, sa bonne humeur perdure, malgré le boulot. Elle rentre le soir et son premier travail est de se mettre nue, profitant de la fraîcheur exceptionnelle de la vieille maison.
    
    — Tu sais, c’est extraordinaire ici. Même ...