1. Où Marie se déchaîne


    Datte: 19/07/2024, Catégories: ff, douche, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation caresses, intermast, Oral uro, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... innocente et ravie de contempler sa silhouette pulpeuse. Cette fille est vraiment mignonne à croquer.
    
    Dans ma tête, je calcule le bagage à emporter. Vu la recommandation de Colette, une trousse de toilette, avec un minimum d’accessoires de maquillage évidemment, suffira. Pour la route, robes d’été, culottes et soutifs. Pourquoi des sous-vêtements, au fait ? Nous ne pourrons que les salir. Je décide qu’ils rejoindront l’indispensable dans le sac. Ne pas oublier de remettre les nattes dans le coffre, et prévoir une paire de serviettes pour les sièges…
    
    La table est mise sur la terrasse. Tout est prêt. Marie est une perle !
    
    — Que nous as-tu préparé de bon, ma puce ?
    
    Omelette et pommes sautées. Tiens, tiens !
    
    Marie ne comprend pas pourquoi j’éclate de rire. Il faudra que je lui explique.
    
    _______________________________
    
    Marie remue dans ses rêves à côté de moi. Son jeune corps abandonné m’attendrit. Ses seins ronds s’amollissent et se gonflent tour à tour au gré de ses soupirs. La couronne pâle de ses mamelons frissonne sous la fraise arrogante de ses tétons. Son petit ventre rond s’est aplati dans sa pose, le nombril s’y devine au creux d’une ombre légère. Ses cuisses s’écartent à peine sur l’amorce de la fente que dessine sa touffe. Je me retiens de porter la main dans cette toison moite. C’est sur la mienne qu’elle vient reposer, ravivant la mémoire d’une nuit de plaisirs.
    
    Nous avions rapidement expédié le repas. J’avais sorti le petit flacon de liqueur ...
    ... domestique ramenée de la haute Provence, soi-disant pour nous égailler. En réalité, l’alcoolat de figue a potentialisé la fatigue du jour. Nos paupières se fermaient, nos phrases se perdaient dans un brouillard assourdi.
    
    — Il est temps de dormir, je crois, avais-je dit.
    
    Marie n’avait pas mis en cause ce constat. Mais la profonde inspiration qui avait soulevé sa poitrine disait mieux que des mots toute la tristesse de se retrouver seule dans sa chambre. Son gros chagrin muet m’avait peinée. Il me fallait la réconforter de mon mieux, ne l’avais-je pas promis à Manon ?
    
    — Tu veux dormir avec moi, ma puce ?
    
    Curieux comme l’on passe vite du désespoir à la joie quand on est jeune. Je n’avais pas fini de poser la question que ses yeux se rouvraient, clairs et brillants.
    
    — Oh oui, Chantal, merci !
    — Je dors nue, tu le sais, l’avais-je taquinée. Ça ne te gêne pas, au moins ?
    — Ben, ça changera pas beaucoup de la journée, il me semble, avait-elle malicieusement remarqué. Tant que vous restez sage…
    
    Nous sommes restées sages, en effet, jusqu’un peu après minuit, après le premier sommeil, quoi ! Des frôlements légers m’ont réveillée, de petits bisous tièdes sur le haut de mes seins. Marie me regardait, pupilles pétillantes. J’ai caressé doucement sa chevelure embrouillée.
    
    — C’est ce que tu appelles être sages, ma puce ?
    
    Sa bouche est venue prendre la mienne. J’ai aspiré sa langue sans souci des humeurs mêlées qui la tapissaient. Elle a tété la mienne sans plus de ...
«12...8910...13»