1. Où Marie se déchaîne


    Datte: 19/07/2024, Catégories: ff, douche, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation caresses, intermast, Oral uro, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... dans un vieux tiroir…
    
    Je résume l’histoire, j’escamote les détails, je synthétise les anecdotes. J’essaie néanmoins d’être honnête et complète. Ce qui prend du temps. Je continue sous la douche, ou plutôt dans la douche : Marie ne veut pas ouvrir le mitigeur, sous prétexte que le bruit de l’eau couvrirait ma voix. Pourquoi n’être pas restées tranquillement au salon, dans ce cas ? Je vais aborder la partie la plus délicate. Je préfère m’asseoir pour confesser ma révélation de jeux sexuels dont l’euphorie m’attire toujours. Je cherche des mots choisis, ils ne me viennent pas. Tant pis, je parlerai vrai.
    
    Marie est suspendue à mes paroles. Les phrases crues ne la choquent pas. Elle s’est installée comme moi. La place est comptée, nous sommes encore une fois imbriquées. La promiscuité facilite les confidences. Elle hoche une tête compréhensive à l’aveu de ma gêne la première fois que j’ai dû uriner devant Colette. Elle a éprouvé la même honte ce matin, et la même trouble excitation. Ma corvée de bois sous la pluie et sous la férule l’égaye. Je ris aussi à ce souvenir plus cocasse que douloureux. Mon initiation saphique l’attendrit et l’étonne. Elle me croyait bi sexuelle de longue date. Mon expérience des boules de geisha suscite son intérêt.
    
    — J’aurais aimé essayer, laisse-t-elle échapper, rêveuse. Vous en avez ?
    — Je voulais en acheter. Je regrette, je ne l’ai pas fait, la déçois-je.
    
    J’en arrive à mon apprentissage du sadomasochisme. Son attention redouble. Je lui ...
    ... décris les péripéties de mon « Grand jour ». Ses pupilles s’écarquillent.
    
    — Elle vous a donné un lavement ! Vous lui avez montré votre cul !
    — Je lui ai TOUT montré, ma puce ! Il faut oublier toute pudeur. C’est obligatoire.
    
    Elle encaisse avec un frisson. Manifestement, ce passage nécessaire la ragoûte peu. Son intérêt se réveille avec l’épisode des pinces. Nous sommes à l’étroit, la cabine de douche est devenue un sauna. Nous transpirons abondamment, la sueur accroît l’effet du sel sur la peau. Malgré cela, Marie ne cesse de s’agiter.
    
    — Alors, elle vous a mis des pinces là ?
    
    Elle touche ma chatte du bout du pied.
    
    — Et là ? Et là ?
    
    Son autre pied joue avec mes bouts de seins.
    
    — Oui. Surtout là.
    
    Mes orteils pétrissent sa craquette. Elle sourit béatement.
    
    — Aaah ! C’est bon… Continuez.
    — À te branler ou à te raconter ?
    — Les deux ! Après, elle vous a fouettée, c’est ça ?
    — Oui, à chatte ouverte.(Ce n’est pas vrai, je mens pour lui faire peur.)
    — Ooh ! Ouverte comme ça ?
    
    Ses deux pieds se rejoignent sur mes lèvres et les écartent autant qu’ils le peuvent. J’en oublie de remuer le mien sur les siennes. Elle n’y prend pas garde, trop prise par ce qu’elle fait, ce qu’elle voit, et ce qu’elle imagine.
    
    — Ooh ! Fouettée entre les lèvres… dans la chatte… sur le trou à pipi… Vous avez eu mal ?
    — Beaucoup. Mais ce n’était pas le pire. Pas comme la pince sur le clitoris.
    — Hou-la-la ! Vous avez pleuré ?
    — Oui. Ensuite, elle a été gentille. Elle m’a ...
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