1. Où Marie se déchaîne


    Datte: 19/07/2024, Catégories: ff, douche, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation caresses, intermast, Oral uro, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... à l’autre, tête-bêche, sans nous soucier de l’endroit où nos lèvres étaient posées, sans chercher à ranimer un désir satisfait ? Un quart d’heure, ou une heure, peut-être, je ne sais. Je me souviens seulement que c’est elle qui a touché ma chatte, qui s’est émerveillée de la trouver trempée, et qui m’a demandé de pouvoir me branler. Je l’ai étonnée en lui avouant que son orgasme avait suffi à me faire jouir. Mon corps s’en contentait, mais le sien, retrouvant force et vie, avait encore envie.
    
    Je me suis rappelé les leçons de Colette. Celle, en particulier, de la « prière arabe » m’est venue à l’esprit. J’ai retourné Marie sur le lit, à plat ventre. J’ai haussé son bassin, ramené ses genoux à l’aplomb de ses hanches. J’ai pesé sur dos au niveau des épaules et j’ai saisi son bras, l’ai guidé vers sa choune. Puis, sa main bien plaquée sur sa fente insatiable, j’ai empoigné ses fesses et ouvert son derrière. Sa raie culière était gluante de sa mouille qui s’y était glissée, son œillet palpitait de surprise et d’attente.
    
    J’ai gardé le sillon écarté un moment, le temps de me repaître de ce cratère bistre, étoilé et serré, enchanteur et mouillé, offert à ma merci de bonne volonté. Marie respirait fort et déjà ses doigts tripotaient son minou. J’ai posé ma bouche au centre de ces joues rondes et dodues. J’ai titillé de ma langue l’anus d’abord peureux, fermé, puis confiant, détendu. J’ai parcouru la faille du périnée au coccyx, j’ai salivé la peau, fine et souple à présent. ...
    ... J’ai pu apprivoiser les bords de la rosette, et j’ai tourné sept fois ma langue dans ce cul.
    
    Marie en a gémi. De ces baisers nouveaux, elle sentait sans doute l’ivresse et l’interdit. J’ai respecté sa jeune pudeur, me bornant à ce trou et lui confiant l’autre. Le nez dans ses odeurs, la langue sur l’amande, j’ai empaumé ses seins, tendres poires pendantes. Et, tandis que sa main s’activait sur ses lèvres, j’ai pris ses mamelons entre pouces et index. J’ai roulé ses tétons, j’ai pressé ses tétins, accordant mes caresses au rythme de ses doigts dans sa chatte et sur son clitounet. Fraises tendues, vagin coulant sur mon menton, ma langue dans son cul dansant le rigodon, elle a joui, ma Puce, ma Marie, enfin rassérénée.
    
    Maintenant, elle dort, ou elle fait semblant. Ma main a progressé en me remémorant les folies de la nuit et mes bouleversements d’instructrice attentive et d’amante lascive. De fait, c’est moi qui me masturbe, en rêvant au bonheur des orgasmes profonds que je lui ai donnés. Ma poitrine et mon ventre sont couverts de frissons, mes cuisses sont ouvertes, ma vulve mouille et pleure. Je me fouille moi-même en retenant mes cris. Je vais jouir aussi… Ne pas la réveiller ! Je dois me dominer… C’est trop tard, j’ai crié !
    
    — Bonjour, ma chérie.
    
    C’est la première fois qu’elle m’appelle ainsi. Pourquoi ai-je rougi ? Je suis encore dans les limbes de mon songe érotique, une main sur les seins, une main sur le sexe. Aurais-je honte de m’être caressée en cachette, ou ...