1. Délicieuses pensées


    Datte: 09/07/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, campagne, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, Oral uro, fouetfesse, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... douche abondante le frais parfum de pêche qui m’avait réjouie lorsque hier je léchais la même jeune chatte. Je n’ai pas eu loisir de m’en préoccuper. L’ordre que je craignais, ou peut-être espérais, est venu sans attendre.
    
    — Ouvre la bouche ! Ouvre !
    
    Pourquoi, en l’entendant, me suis-je souvenu de ce vers d’Haraucourt ponctuant la chanson de Suzy Solidor ?Ouvre tout ce qu’on peut ouvrir… Les trésors de mon ventre étaient déjà ouverts, on ne peut plus ouverts et gluants de désir. Ma bouche obéissante à son tour s’est ouverte, toute large et gourmande, avide d’accueillir le flux du chaud trésor que m’offrait Anaïs. Il s’y est engouffré. Il en a débordé, sur mon menton, mon cou, jusque sur mes oreilles. Un flot trop généreux pour le tout avaler qui, en lavant ma face, enchantait mon palais. Sans répulsion, sans honte, j’ai bu à satiété ce breuvage salé qui contentait mes sens et enflammait ma gorge, saphique ambroisie m’inondant sans tarir.
    
    Mais tout a une fin, et même le pipi trop longtemps retenu d’un nouvel ondinisme ne peut se mesurer au sort des Danaïdes. Le minou d’Anaïs a cessé de pisser. Le méat a lâché quelques ultimes gouttes se fondant dans la mouille dont regorgeait la vulve et moi, j’ai dégluti une ultime gorgée, toute étonnée soudain d’avoir presque joui.
    
    Il m’a suffi de peu pour ...
    ... atteindre la chatte à nettoyer. Anaïs l’a posée sur mes lèvres et ma langue amoureuse en léchant tout du long emporta avec elle urine et sécrétions. Je n’ai pas résisté au plaisir d’un peu fouiller le con, d’en soutirer la crème abondante et douceâtre dont le goût à nouveau rappelait le pêcher. Sous prétexte de zèle, j’ai cherché le clito qui aurait pu, qui sait, avoir été touché par la douche dorée. Soigneuse, j’ai tété et extrait le bouton de sa petite cache. S’il n’avait pas subi d’arrosage impromptu, il s’est bien comporté néanmoins, comme un grand, se gonflant d’importance et durcissant au point d’arracher des plaintes de bonheur à celle que ma bouche goulue voulait remercier. Anaïs jouissait et c’était ma fierté.
    
    Pourtant, si ma figure maintenant était propre, quoique certes trempée, je restais allongée, maintenue écartée, sur le dos, par les affectueuses, attentives, mais solides étreintes de mes dominatrices. À peine Anaïs s’était-elle levée en libérant mes lèvres de sa foune apaisée que les mains de Colette se présentaient à elles, maculées du liquide dont je m’étais gavée.
    
    — Lèche, m’a-t-elle dit, lèche-moi cette pisse !
    
    J’ai léché les paumes et le dessus des mains. J’ai tété chaque doigt, sucé chaque jointure. Je me suis appliquée, et la demande de notre hôtesse a été satisfaite.
    
    A suivre 
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