1. Délicieuses pensées


    Datte: 09/07/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, campagne, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, Oral uro, fouetfesse, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    Nous descendons de la montagne en chantant. Cette montagne n’est guère qu’une colline boisée et nos chants sont plutôt des exclamations, des taquineries et des rires. Mais le cœur y est ! Sur ce sentier dévalant entre pins, chênes blancs, chênes verts et kermès, dans la tiédeur sèche d’une fin de journée d’été, se hâtent des randonneuses à l’allure particulière. Nous sommes sept vestales vouées au culte de Sapho et une pénitente rachetant ses fautes passées tout en supputant ses péchés à venir.
    
    Les officiantes sont vêtues d’aubes blanches – un peu moins blanches que blanches, si vous voyez ce que je veux dire – et la fille nue, c’est moi. J’ai dû céder le port de ma tunique à Colette. Une punition supplémentaire pour mes nombreuses erreurs. Je suis à poil, livrée à la vue d’un éventuel promeneur que nous croiserions, et je m’en fiche. Les fesses me cuisent, ma chatte est en feu, et je m’en fiche aussi. Mon vagin est bouleversé par les boules de geisha qui l’occupent, et je m’en fiche encore. Enfin… Je me fiche des gouttes qui coulent de mes lèvres, pas des orgasmes qui les provoquent. Il me faut parfois m’arrêter pour reprendre mon souffle, et je me fais houspiller par mes compagnes que je retarde.
    
    Je n’étais pourtant pas la soumise tirée au sort pour nos jeux de peines et de plaisir, mais Martine, notre Reine du jour, a tout pouvoir sur chacune de nous. Dans sa bienveillance, elle a libéré de leurs harnais, Marie, ma puce amoureuse, ...
    ... et Colette, l’hôtesse qui nous accueille et nous offre ces réjouissances, pour me faire endosser – euphémisme – la tenue d’infamie. Une infamie très acceptable, toutefois, qui m’oblige à jouir depuis que nous avons quitté la clairière ensoleillée où j’ai subi le plus gros de mes sanctions et qui me fera jouir jusqu’à la maison où les soumises régulièrement désignées reprendront leur service. Au moins n’ai-je pas à porter les sacs d’excursions dont Janine et la jeune Anaïs ont bien voulu se charger, sous réserve que Bénédicte et Andréa les relaient à mi-chemin.
    
    La pause échange arrive à point nommé pour moi. Je repose mes jambes, je repose mon ventre, et je me désintéresse des papotages joyeux pour me remémorer l’heure que je viens de vivre. J’ai appris à lécher. Oh, ne nous trompons pas, je savais très bien le faire ! Mais, entre lécher une chatte, des fesses ou des aisselles, et lécher un corps entier dans ses plus discrets replis, il y a un monde. Alors, en lécher deux…
    
    J’ai commencé par Colette, selon le respect dû aux aînées. Elle était debout, nue comme il se devait, sur un petit carré de lin pour l’isoler de la poussière du sol. Martine lui avait conseillé – un autre euphémisme – de quitter ses baskets et l’avait autorisée à se caresser si l’envie lui venait. Elle m’a tendu un pied, s’appuyant sur Marie pour garder l’équilibre. Marie, elle aussi en costume d’Ève, bien entendu. D’ailleurs, pourquoi barguigner ? Nous étions toutes les huit à poil ! Il n’y a qu’ainsi ...
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