Délicieuses pensées
Datte: 09/07/2024,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
campagne,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
caresses,
Oral
uro,
fouetfesse,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... pas le gros jet de sa moule, cette chérie !
— Mais non, ce n’est pas ça, avait protesté la gamine en rougissant.
— Tu n’as pas regardé Béné, ou ça ne te gêne pas de montrer ta craquette pisseuse ? Et sois polie en répondant, s’il te plaît.
— Pardon, Ma… ma Reine. Ça ne me gênerait pas de faire pipi devant vous, ma Reine.
— Parfait ! Tu vas pouvoir laver le museau de notre cochonne, ma chérie.
— Hein ??
C’est là que j’avais vu passer cette lueur indéfinissable dans le regard d’Anaïs. Moi-même, je m’interrogeais. J’avais déjà expérimenté la douche dorée sur la poitrine et la chatte – dans la chatte, pour être précise – mais l’idée de la recevoir sur le visage, a fortiori sur les lèvres, ne m’attirait qu’à moitié. Néanmoins, je n’ai pas résisté quand plusieurs mains m’ont saisie et allongée à plat dos dans le thym. Toujours cette insatiable curiosité de la découverte !
— Tu vois, expliquait patiemment Martine à Anaïs, tu n’as qu’à mettre tes petons à côté de ses épaules et t’accroupir comme tu as l’habitude de le faire. Je te conseille de bien écarter ta marguerite avec tes mains et de poser tes index tout près de ton méat pour diriger la course de ton pipi. Tu pourras arroser exactement où tu veux. C’est très simple, non ? Et ne t’inquiète pas, Chantal t’essuiera lafoune après, comme elle l’a fait hier.
J’avais les bras et les jambes en croix, les membres solidement maintenus chacun par une assistante zélée. Colette s’était chargée d’immobiliser ma tête que je ...
... n’avais pourtant aucune intention de bouger. Bref, aucune liberté de mouvement sinon des lèvres et des paupières. Je n’allais tout de même pas fermer celles-ci alors que j’avais devant les yeux le mignon coquillage d’Anaïs… Sous les petites boucles noires, les fuseaux bombés des valves s’entrouvraient déjà sur la muqueuse rose et une pointe carmin éclosait au sommet de la double amande des nymphes noyées d’écume pâle.
Fascinée, je suivais la progression des doigts écartelant la fente pour m’en révéler en gros plan les détails cachés, les douces ondulations des chairs roses, l’orée moirée du vagin qui pulsait doucement et la pupille palpitante du méat comme un œil qui me fixait. Hypnotisée par ce regard étrange, je m’impatientais de trop d’hésitations qui soulevaient des senteurs capiteuses s’exhalant à un pan de mon nez. Les index de Anaïs tâtonnaient trop longtemps. Je les ai guidés au plus près de leur but, de part et d’autre de l’ouverture de l’urètre. D’infimes contractions annonçaient sa défaite, j’allais enfin connaître ce qu’il me promettait.
Un dernier clignement, et le jet m’a surprise d’une flèche dorée juste au milieu du front. L’onde s’est répartie par-dessus mes paupières et m’a brouillé les yeux. Je n’avais d’autres choix que de les refermer et de m’abandonner au liquide odorant qui recouvrait mes joues. Un acide léger taquinait mes narines. Une touche d’urée, une autre plus subtile, se mêlaient en fragrances aux notes étonnantes. Je ne retrouvais pas sous la ...